1. La graine est plantée : Marc


    Datte: 18/09/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, piscine, boitenuit, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, échange, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... doigts et qui frotte son bouton contre ma paume ? Au battement du sang qui irrigue ma verge ? Aux grimaces du baiseur, force vive, brutale, presque primitive qui enfile son bâton sans aucune retenue ?
    
    Mais en tout cas c’est ma copine, belle salope, qui sonne la fin. Elle, pas particulièrement silencieuse dans ses jouissances, clame celle-ci à la cantonnée. Le « Ouiiiiiiiiiiiiiii… » sans fin s’accompagne d’une crispation de tout son corps. L’orgasme est là, envahissant, s’exposant aux yeux de tous, et manifestement le point d’orgue qu’attendait son amant. Il s’immobilise, et aux crispations de son visage il n’est pas difficile de deviner que lui aussi jouit. L’enfoiré, le salaud s’est manifestement contrôlé pour ajouter à l’orgasme de Maryse sa liqueur brûlante qui vient lessiver les parois hypersensible dans cet instant ! Et à la taille de ses couilles, je peux imaginer qu’il doit bien la remplir.
    
    — Tu vois, je t’avais dit que c’était un bon amant. Ta copine est pas mal aussi dans le genre petite fille sage qui cache bien son jeu. Viens. Maintenant, c’est à nous.
    
    Elle me prend la main. Elle me tire.
    
    — Mais, on va où ?
    — Dans la chambre ; ce sera plus confortable.
    — Mais eux ?
    — Ne t’inquiète pas pour eux, leur nuit va continuer. Luc va bien s’occuper de ta copine. Et moi de toi !
    
    Les chambres sont au rez-de-chaussée, avec vue sur la piscine. Elle pousse la porte de la première. Le lit est juste là ; elle m’y pousse, elle m’enjambe, et avec une ...
    ... impatience évidente elle se prend sur ma bite. Son sexe est brûlant.
    
    — Putain, depuis le temps…
    
    Laeticia se tortille avec délice autour de ce mandrin dont la dureté est à la hauteur de cette longue érection, et puis elle commence à se prendre. Je ne suis qu’une queue, mais c’est bon. Ma cavalière passe du trot au galop. Ses fesses claquent sur mes cuisses. Ses seins de marbre, marbre noir parfait, bougent doucement. Je les caresse. Elle gémit.
    
    Son plaisir arrive vite. Comme moi, elle n’a été que voyeuse du plaisir des autres, et notre excitation demande une récompense rapide. Je l’inonde. Mon jus mêlé au sien coule sur mon mandrin. Elle s’affale sur moi.
    
    En se penchant elle me laisse la vue sur la porte restée ouverte. J’y découvre les autres qui devaient regarder, mais ils partent. Quelques secondes plus tard j’entends le volet roulant dans la chambre à côté.
    
    — Tu vois, il ne fallait pas s’inquiéter. Eux aussi.
    
    Elle se lève et va ouvrir notre volet. La fraîcheur de la nuit est comme une vague de plaisir.
    
    Mais ce n’est qu’un début. Toute la nuit Laeticia s’est donnée à moi et a pris de moi tout ce qu’un homme peut apporter à une femme. De la chambre à côté nous parvenaient aussi des preuves de leurs ébats. Le premier, peu de temps après l’ouverture de leur volet a été un « Oui, j’ai envie. » bien clair de ma copine. La suite a été plus indistincte, mais ô combien révélatrice ! À un moment, je crois qu’ils sont allés dehors car c’est par la baie vitrée que ses ...