1. La graine est plantée : Marc


    Datte: 18/09/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, piscine, boitenuit, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, échange, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... voilà partis pour trois semaines.
    
    On pense qu’il y aura d’autres personnes avec eux, mais en réalité ils sont seuls.
    
    Des employeurs pas embêtants. Ils sortent tous les soirs, ne rentrent qu’à l’aube, dorment jusqu’en milieu d’après-midi. Du coup nous avons presque la maison pour nous. Et même lorsqu’ils sont là, ils nous invitent à profiter de la piscine. Nous avons de la chance.
    
    Ils ont quinze ou vingt ans de plus que nous, mais, du moins dans ces conditions, ils paraissent comme des jeunes. Toujours à sourire, de bonne humeur. C’est vrai qu’ils ont tout pour être heureux. Manifestement assez riches pour pouvoir se payer une villa comme celle-ci et sortir tous les soirs. Je n’ose imaginer le budget car à l’heure où ils rentrent, les restos sont fermés depuis longtemps et ils ont dû finir en boîte!
    
    La femme ne fait pas son âge, et comme elle se baigne topless, je peux apprécier ses formes généreuses. Généreuses mais paraissant si fermes que Maryse, un brin jalouse que je puisse regarder, admiratif, cette femme, saborde par un « C’est pas du naturel, à son âge ! »
    
    L’homme, bien que je ne sois pas un expert en beauté masculine, est pas mal non plus. Moi aussi je chahute gentiment Maryse lorsqu’elle le regarde un peu trop.
    
    Bref tout va bien. La première semaine se passe gentiment. Le soleil et le rosé participent à notre libido. Plusieurs fois nous avons fait l’amour dans la piscine pendant que les patrons étaient partis.
    
    Ce matin-là, il fait à peine jour ...
    ... et un bruit me réveille. Il faut dire qu’il a fait très chaud et que dans notre chambre, c’est la fournaise. Aussi je me suis installé sur un transat pour respirer un peu. Je me suis endormi, et ce quelque chose me réveille. Un moment je cherche, pensant à un rêve, mais des clapotis attirent mon attention.
    
    Heureusement, je suis dans une zone d’ombre car je réalise que le bruit devait être celui de mes patrons qui piquent une tête. En deux secondes je réalise que c’est bien eux car je vois la femme, Laeticia, jaillir de l’eau pour venir s’asseoir sur le bord du bassin. Elle me tourne le dos, mais elle n’est pas qu’assise. Il fait sombre, mais surtout sa silhouette me cache le reste. Et le reste, c’est manifestement son mari que je ne vois pas mais qui, aux grondements qui arrivent jusqu’à moi, doit faire une minette à sa femme.
    
    Oui, pas de doute ! Laeticia se penche en arrière dans un mouvement de total abandon comme celui d’une femme qu’un homme lutine avec sa bouche et sa langue. Le clair-obscur et sa peau sombre la transforment en ombre. Une ombre dont la peau humide semble attirer la lumière.
    
    Je n’ose respirer, de peur de me faire découvrir, devenant un voyeur dont la défense serait bien difficile à assurer.
    
    La femme gémit. Elle s’ouvre aux caresses. Ses jambes apparaissent, dans un scénario lubrique, de part et d’autre de son corps. Elle est presque maintenant totalement allongée. Seule sa tête me fait encore écran pour voir son mari en action. Mais Luc, son ...
«1234...20»