-
Cheat-Code (1)
Datte: 18/09/2018, Catégories: Divers, Auteur: Clover, Source: Xstory
... des sites pas très catholiques – et je ne parle pas de www. lire-la-torah-en-ligne. com – et certainement jamais en chair et en chair. Très ronds, parfaitement centrés, ils auraient pu intéresser la science tellement ils défiaient la gravité malgré leur poids évident. Je ne sais pas pourquoi, mais le mot gourmand me vint à l’esprit. Probablement la faute à ses longs tétons bruns plantés au centre de petites aréoles qui ressemblaient à des tartelettes ne demandant qu’à être dégustées. — Tu m’as fait peur, dit-elle en fixant mon entrejambe, mais mes armes fatales fonctionnent encore on dirait. Ma verge se tendait de toute sa gloire vers le plafond des toilettes. Une gloire à peine dans la moyenne, certes, mais gloire tout de même. Sandra l’observait comme la 8e merveille du monde, ses lèvres humides entrouvertes. Quelques gouttes de liquide rose remplirent la jauge au-dessus de sa tête. J’étais sur le bon chemin et je contenais à grande peine mon excitation. — Toucher seins. Même un anarchiste n’oserait se rebeller face à un tel ordre. Je posais mes mains tremblantes sur la poitrine offerte. La belle hôtesse choisit ce moment pour enserrer mon sexe dans sa poigne et le caresser en longs mouvements déliés qui m’arrachèrent des petits cris de pucelle. Je tâchais de détourner mon attention de la montée pressante de mon orgasme en palpant ses seins de plus belle. Cela ne résolvait pas grand-chose, mais qu’importe. Je parcourais tout leur galbe. J’osais à peine toucher ...
... ses tétons, me contenant d’admirer la façon qu’ils avaient de darder entre mes doigts. — Plus fort. OK, OK. Autant pour la tendresse ! Cela dit, je mentirais en disant que je n’en mourrais pas d’envie. Me voir accorder une forme de permission apaisait ma peur de mal faire. Je comprimais fortement ses deux seins dans mes mains trop petites pour les y contenir. Leur douce chair s’échappait de mes doigts. J’attrapais entre mes pouces et index ses longs tétons. Je les pinçais, les étirait. Ils se gorgeaient de désir sous mes tortures. Cela déclenchait chez Sandra de profonds soupirs qui m’excitaient encore plus que la douceur de ses paumes contre ma verge. La jauge se remplit à nouveau, un peu plus cette fois. Après quelques délicieuses minutes de pelotage intensif, la belle hôtesse lâcha mon sexe et repoussa mes mains. Je la laissais faire, un peu triste de ne plus pouvoir martyriser sa sublime poitrine. Ma déception s’envola dès qu’elle enveloppa mon membre tendu entre ses seins. De ses mains fines et parfaitement manucurées, elle les maintenait pressés en un étau délicieux, leur chaleur répandue sur toute ma longueur. La lubricité de son regard manqua de m’achever. Je lâchai un long gémissement sans me soucier du fait que quelqu’un pouvait entrer dans les toilettes à tout moment. À vrai dire, cette idée m’excitait de plus en plus. Je voulais que le monde entier sache ce que j’étais en train de vivre avec la plantureuse blonde que tout le bureau rêvait de se ...