Lily
Datte: 17/09/2018,
Catégories:
fh,
prost,
massage,
hdanus,
Auteur: Teddy75, Source: Revebebe
... mon entrejambe.
Mon souffle se fait bruyant ; toute honte bue, complètement détendu et assoupli par ses mouvements, je cherche à m’empaler sur son pouce, à l’absorber. Enfin son doigt coulisse lentement à l’intérieur, provoquant un léger chatouillis, mais ni aucune douleur ni aucun inconfort… bien au contraire. Sous l’effet conjugué de mes ruades de plus en plus franches et de la pression qu’elle exerce en venant à la rencontre de mon désir, je me trouve comme suspendu à sa main, relié au monde extérieur par son intermédiaire.
Elle me tient dans une pince, moitié en moi, moitié à l’extérieur, et cette pince m’envoie de l’énergie comme on rechargerait une batterie d’une voiture à une autre ! Je fusionne avec son doigt qui m’investit, avec sa main, son bras dont mon sexe tendu est désormais une sorte de prolongement comme si ce bras avait traversé tout mon bassin. Je suis une femme et un homme tout à la fois. Je perds tout contrôle de la situation, prends appui sur mes avant-bras et pousse sur mes cuisses, creusant mon dos, pour me souder encore plus à la main qui me tenaille et me fouille intimement avec mon plus grand consentement. Je veux l’absorber toute entière, accentuer encore la pression ressentie à l’intérieur.
Un plaisir incoercible monte, par vagues successives, comme une marée montante. Au lieu d’être concentrées dans le sexe tendu, les sensations irradient des pieds à la tête, m’innervent d’énergie bienfaisante, me remplissent, débordent…
À la ...
... seconde où je viens à désirer que mon sexe soit empoigné, caressé, secoué, et profitant de l’espace qui s’est libéré sous mes hanches, Lily glisse son autre main et s’empare de ma virilité.
Elle exerce de longs va-et-vient huileux sur mon sexe pendant que je sens le petit pieu de chair fiché au creux de mes fesses tournoyer en se concentrant sur une zone qui déclenche des sensations indescriptibles.
Je décroche complètement. Sombre. Décolle. M’enfonce. M’abandonne. Mon cerveau ne réagit plus.
Je râle, soupire, implore, remercie, pousse, absorbe… une vague plus forte… j’arrête de respirer, bouche ouverte…
J’éjacule à jets puissants, arrosant le coussin et la serviette d’une quantité de sperme que je ne me suis jamais senti expulser, broyant le pouce de Lily sous les spasmes internes qui me secouent.
Je suis toujours en appui sur mes avant-bras, fesses relevées, reins et cuisses tendus. Lily glisse rapidement sous mon ventre une serviette sèche. Je reviens doucement au contact de la table de tout mon long, alors que dans le même temps son pouce se retire, très lentement, caressant au passage avec une extrême douceur les bords de mon anus. La pénétration cesse exactement au bon moment, comme elle a commencé ; plus tôt, la frustration aurait été terrible. Plus tard, la sensation d’intrusion serait devenue désagréable.
Lily laisse encore un bon moment sa main posée sur mon dos, accompagnant ma respiration, puis sort doucement de la cabine.
— Je attends dehors, ...