1. Lettres d'une femme mariée - 7


    Datte: 17/09/2018, Catégories: f, fffh, hplusag, jeunes, couple, extracon, inconnu, Collègues / Travail Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... dans son sexe…
    
    Je savais qu’il était impossible de les entendre du côté de l’accueil, mais en avait-elle seulement conscience ? Avait-elle seulement la possibilité de réfréner ses soupirs de plus en plus sonores qui, de façon troublante, évoquaient les sanglots autant que la jouissance ?
    
    En tout cas je la trouvais si belle, avec ses somptueux nichons qui oscillaient au-dessus de sa jolie taille étreinte avec vigueur par les puissantes mains de Michel !
    
    Elle gardait toujours ses adorables paupières closes, désormais nues de tout maquillage, mais sa bouche si sensuelle paraissait avide de tous les breuvages qui pourraient enfin combler ses sens… Pendant ce temps, elle glissait ses doigts graciles entre les poils épais du torse de mon amant.
    
    Cette vision obscène et magnifique d’une cavalcade à la sensualité incontrôlée ne s’acheva que, lorsqu’au bout de plusieurs minutes, alors qu’elle était désormais en sueur, elle poussa un cri plus puissant, prolongé et aigu que les autres. Elle s’effondra finalement en larmes sur le buste en sueur de son partenaire.
    
    Je voyais très bien d’où j’étais, grâce à la lumière d’une petite lampe qui se trouvait près d’eux, le reflet de la sueur des deux amants qui caressait leur peau, mais aussi les larmes qui perlaient sur la poitrine de Michel alors que la complice de son forfait ...
    ... s’abandonnait éperdument en sanglots…
    
    Je n’ai rien voulu savoir de la suite de leur « entretien », et j’ignore quel choix de destination elle aura finalement décidé. Je ne peux qu’imaginer que dans les bras de son « cher mari », elle repensera sans doute souvent à ce moment particulier où elle aura pris sa décision, avec l’aide si attentive et chaleureuse « du patron de l’agence de voyages », en se souvenant du témoignage ému qu’elle lui aura laissé : sa petite culotte.
    
    Une fois encore, je m’aperçois que je me laisse emporter par le fil de mon récit. Je n’ai eu le temps que de te raconter une histoire parmi celles que j’ai pu observer ce jour-là, et il faudra que je remette à demain la suite de ma chronique… sans compter qu’après m’être gavée de visions érotiques, j’ai retrouvé Michel comme si de rien n’était pour lui lire une de mes lettres et le solliciter à me faire l’amour… Ce qu’il a fabuleusement accompli avec cette vigueur infatigable dont je mesure davantage l’étendue aujourd’hui !
    
    Loin de me rassasier, je me rends compte que je n’ai qu’une envie ce soir : c’est de te couvrir de baisers entièrement, de la pulpe de tes lèvres jusqu’au bout de ton sexe qui sera finalement mon ultime et douce friandise. J’ai ensuite envie de te boire jusqu’à la dernière goutte…
    
    Ta petite femme chérie toute excitée au moment de te retrouver. 
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