1. Lettres d'une femme mariée - 7


    Datte: 17/09/2018, Catégories: f, fffh, hplusag, jeunes, couple, extracon, inconnu, Collègues / Travail Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... et quand je vous regarde dans la position où je suis, j’ai une vue remarquable que vous ne pouvez, vous, que deviner.
    
    Il parvint ainsi une nouvelle fois à lui arracher un sourire, mais elle semblait toujours au bord des larmes, prête à libérer un chagrin trop longtemps contenu.
    
    Les mains de Michel avaient glissé maintenant sur sa nuque, et elle se laissait faire. C’est le silence qui régnait dans la pièce qui parlait maintenant à leur place. Il lui avait dit qu’il était bien auprès d’elle. Elle, elle n’avait pas besoin même de le dire…
    
    Lorsqu’elle a enfin esquissé un geste, ce fut pour placer ses mains contre ses joues, pour l’attirer lentement vers elle afin que leurs lèvres se rencontrent. C’était le moyen qui devait lui paraître le plus naturel pour le remercier de tant d’attentions. En se penchant vers elle, il lui a semblé à lui aussi tout naturel de faire glisser ses doigts de son cou à la naissance de ses seins, dont le décolleté, agrandi par ses soins, lui offrait un spectacle déjà bien séduisant.
    
    Lorsqu’elle s’est subitement retrouvée torse nu, l’étoffe légère ayant glissé sans effort, ce fut pour offrir le spectacle d’une ravissante poitrine d’une dimension comparable à la mienne. Mais ses formes ne devaient sans doute pas lui procurer les mêmes sensations que celles qu’il avait eues en me pelotant, quand il se mit à les caresser et à les pétrir, assuré qu’il était de sa bienveillante permission. Ses seins, charmants je dois l’avouer, par leur carnation ...
    ... et leur fermeté, avaient un peu la forme de jolies poires tout à fait appétissantes.
    
    Après les avoir malaxés passionnément, il n’a pas mis longtemps à vouloir les goûter, comme des fruits succulents. Il était maintenant à genoux, comme moi-même… mais je n’avais sous la main que mes propres chairs émoustillées par un tel spectacle, que je me surprenais à flatter, tellement j’étais excitée par ce tableau insolite, douloureux et agréable à la fois.
    
    Quand j’ai commencé à me toucher, je me suis rendu compte que c’était la première fois en regardant un couple… Cette vision m’avait finalement plongée dans un état tel qu’il me fallait accompagner mon désir d’une quelconque jouissance physique. Le contact de mes mains sur ma poitrine et mon sexe m’apportait au moins un instant de réconfort dans la solitude de mon bureau…
    
    Je ne sais pas si cette charmante femme pensait à son mari quand elle a commencé à pousser de petits soupirs sous l’effet des baisers appuyés qu’elle accueillait complaisamment sur la pointe gonflée de ses jolis seins… Si elle a pensé à lui aussi lorsque d’elle-même elle a aidé mon chéri à se relever, puis a écarté les jambes pour qu’il frotte son membre contre sa chatte sans prendre la peine de se dévêtir… Si c’est à lui qu’elle pensait, ayant toujours les yeux fermés, quand elle a repoussé son partenaire pour qu’il s’assoie à ses pieds, et qu’après avoir tiré sur son pantalon, elle est venue s’accroupir sur lui, ayant tirée sa culotte, pour enfiler sa verge ...
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