COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (10/22)
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... du monde qui joue à Toulon.
Qui est ce Jonny ?
Jamais entendu parler, c’est le 15 donc un arrière, il faut dire que je regarde rarement la télé et encore moins le sport que dire du rugby que je considère comme un sport de brute.
Je n’aime, et de plus en plus, que le sport en chambre.
Chaque fois que Benoît est à la maison et que la télé est allumée, il est allongé en tenue décontractée.
Que peut faire une honnête femme dans ces cas-là, s’agenouiller, baisser le slip qui protège sa bite et lui faire une fellation avant de se faire prendre dans la position qu’il choisit.
La dernière fois, c’était à la cuillère avant que je ne m’asseye sur sa bite !
Nous avons fini dans la bonne position du missionnaire.
Je plains les filles qui font du porno, j’avais mal aux cuisses et aux bras d’être dans cette position.
Mais revenons à notre match.
À avoir des pensées lubriques, je risque de réveiller la source de mes plaisirs achetée à Martine !
Je saute au cou d’Alain quand je vois le tableau où trois points sont marqués.
Une année, j’ai joué à la pétanque et ces trois points me vont droit au cœur, car avec Benoît, nous avions pris 13 à 0 et nous avions embrassé le cul à Fanny.
Que dire après, ah oui, bagarre générale, surtout les plus gros et les plus grands, ceux qui forment comme une tortue.
L'un des blancs balance un coup de poing vers nos joueurs, c’est Corentin qui ramasse, il se retrouve sur les fesses, Louis venant à son aide, l’arbitre ...
... siffle et relève le bras !
14 à 6 après que Christian eut tapé, mais j’ignore pourquoi l’arbitre a sorti un carton rouge au 5 qui a tapé mon petit Corentin.
• Ils vont jouer toute la deuxième mi-temps à 14, nos chances remontent, je n’y crois pas, les filles vous êtes vraiment nos porte-bonheurs.
Allez Dijon.
À une fraction de seconde près, j’ai failli gueuler comme le supporter lyonnais « mordez leur les couilles », mais j’ai appris à me tenir, je hurle.
• Bourrez-leur le pif.
Les joueurs du banc des lyonnais qui ne jouent pas regardent vers-moi qui a crié, je me fais toute petite, ce n’est pas Alain qui est en mesure de leur résister.
• Venez les filles, c’est la mi-temps.
Après avoir été invitée à boire une coupe de champagne dans une salle derrière nous, le match reprend.
Deux autres fois Christian marquent 14 à 12 à six minutes de la fin, nos joueurs arrêtent les blancs sous les poteaux, mais d’après ce que je comprends ils ne marquent pas.
Les joueurs font une nouvelle fois la tortue et la balle revient vers les blancs.
Le joueur lâche le ballon, nouvelle tortue.
La sirène sonne, je suis déçue, ils vont perdre de 2 points, j’ai envie de pleurer.
Je suis inculte, mais tel le phénix renaissant de ses cendres, Corentin prend la balle entre les jambes de Gaston, le numéro 8, le lance à Christian, qui le fait tomber au sol et qui tape vers les poteaux.
L’arbitre suit le ballon des yeux comme tout le stade.
Au moment où la balle passe ...