1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (10/22)


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    • Véronique, j’ignore ce qui m’a pris, d’un coup, j’ai arraché mes affaires et je vous ai rejoint.
    
    N’allez pas à la police, je suis marié, j’ai deux enfants et j’aime ma femme, vous resterez un merveilleux souvenir.
    
    • Aucune crainte, je suis française et j’aime baiser.
    
    Moi aussi je suis mariée et mon mari n’est pas jaloux, s’il avait été là, ce sont deux bites que j’aurais eues à ma disposition.
    
    J’évite de lui parler de ses joueurs mes autres amants, et encore moins du parchemin qui a tout déclenché.
    
    Nous entrons dans la baignoire, je le savonne, il me savonne, sa queue se retend, nous sommes à deux doigts, sans l’aide du parchemin, de remettre le couvert.
    
    • Non, Véronique, ce ne serait pas raisonnable, il est sûr que nous louperions le coup d’envoi.
    
    Je suis le président, je dois présenter mes joueurs aux officielles de la région, qui profitent de ces occasions pour faire leur publicité.
    
    Mais je n’y tiens plus, je bande encore, je peux vous faire l’amour une nouvelle fois.
    
    Viens dans la chambre, tu as raison, nous avons encore le temps, nous y serons à temps, je te le promets.
    
    Ma chatte n’est pas rassasiée, je sens la chaleur parcourir mon corps.
    
    Je ne sais pas comment les choses se passeraient si je ne répondais pas à son appel, il serait capable de me punir et de se mettre en marche dans la tribune du stade.
    
    Le parchemin veut que je me fasse baiser, je me fais baiser en levrette.
    
    Le président me tenant par les hanches et me mettant de ...
    ... grands coups de rein bien au fond de mon vagin avant de finir par m’apporter le calme et des giclées de sperme bien au fond de moi.
    
    Ouf, le parchemin semble avoir sa dose, le président et moi aussi.
    
    Remaquillée, ma jupe très froissée, mais plus propre, la chatte rassasiée, nous retournons au stade où une nouvelle fois nous entrons par la porte des artistes.
    
    Je remonte dans la tribune, lui part vers la pelouse.
    
    • Véro, je me languissais de te revoir, les joueurs se sont échauffés, plusieurs d’entre eux semblaient te chercher dans la tribune.
    
    Je vois que tu es plus propre, dit-moi, c’est un bon coup ?
    
    • Martine, j’ai faim.
    
    • Veux-tu que j’aille te chercher un hot-dog !
    
    Nous éclatons de rire.
    
    La présentation des équipes se fait, mon nouvel amant tourne fréquemment sa tête vers moi.
    
    Tous, dont le député de la circonscription, retournent vers le bord du terrain, le match va pouvoir commencer.
    
    Il monte jusqu’à nous. Alain, je vais l’appeler comme ça malgré qu’il me vouvoie, Alain donc fait les présentations.
    
    • Poussez-vous merde, c’est le coup d’envoi.
    
    Je pense merde, n’oubliant pas d'avoir les honneurs de la tribune officielle, surtout après que la balle tapée par Christian, dès le début du match, tombe dans les bras d’un blanc.
    
    Je parle de son maillot, pas de sa peau, les nôtres jouant en bleu.
    
    C’était le député qui m’empêchait de voir le coup d’envoi, mettant des plombes à s’installer.
    
    Le blanc reçoit la balle directement dans ses ...
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