1. En Érinlande


    Datte: 15/09/2018, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... pense plutôt à croire la version masculine, sa belle-mère n’ayant probablement pas été consciente de sa participation.
    
    — Je me suis retrouvée nue. Il m’a caressée, embrassée, dans le cou, sur les seins, le ventre, et puis il a glissé sa main entre mes cuisses.
    
    Comme l’autre s’arrête, Judith l’encourage :
    
    — Rien de plus ?
    — Il m’a amignotée, enfin tu vois où.
    — Ton conin. Comment était-ce ?
    — Délicieux. J’étais sur un nuage. J’étais devenue tout humide, ses doigts glissaient et c’est devenu encore plus fort quand il a débusqué un bouton que j’ai en haut de mon conin.
    — Ne le savais-tu pas ? s’étonne Judith qui a découvert par elle-même la chose depuis au moins deux ans.
    — Non. Pourquoi ?
    
    Judith est étonnée de tant d’innocence :
    
    — Tu aurais pu le découvrir ou quelqu’un aurait pu t’en parler. Nous sommes toutes faites pareil.
    
    Son interlocutrice tombe des nues :
    
    — Toi aussi, tu as ?
    — Oui comme toutes les femmes, j’ai un clitoris.
    — Cela s’appelle comme ça ?
    — C’est son nom. Et que s’est-il passé après ? reprend-elle pour la ramener à son récit.
    — Il a insisté longtemps, il a même entré ses doigts dans ma fente. J’étais comme électrisée, et puis il est passé sur moi et…
    — Et quoi ?
    — Il est rentré en moi. C’était merveilleux, je n’avais onc ressenti rien de tel.
    — Pourtant avec… ton époux.
    — Cela n’avait rien de comparable. Quand l’envie lui en venait, il arrivait, me prenait et une fois satisfait, s’en retournait. Quand il entrait, c’était en ...
    ... forçant, c’était le plus souvent désagréable. Seules quelques fois quand cela durait un peu, ça glissait plus aisément et devenait moins malplaisant.
    
    Judith digère cette nouvelle révélation sur son père qui se révèle de plus en plus un bien triste personnage.
    
    — C’était donc fort agréable.
    — Oh oui ! Et même plus que ça, c’était… c’était enchanteur. J’ai été prise de frissons, mais de délicieux frissons qui m’ont fait voir des étoiles. Nous avons poursuivi fort avant dans la nuit.
    — Et vous récidivez.
    — Oui, tous les jours depuis une semaine.
    
    Elle ajoute en baissant la voix :
    
    — Nous faisons plein de choses.
    — Quelles choses ? demande Judith intéressée.
    
    Son interlocutrice est à la fois gênée et ravie de pouvoir raconter ses expériences si plaisantes. C’est en rosissant légèrement qu’elle satisfait la curiosité de sa vis-à-vis :
    
    — Eh bien, il vient me lécher le sexe et moi je le suce. Des fois nous le faisons en même temps, et quand nous faisons l’amour, il ne vient pas toujours sur moi. Des fois, c’est moi qui vais sur lui… D’autres fois, même il me prend à quatre pattes. Je sais c’est comme des animaux, mais c’est diablement bon et excitant, et pourtant ça secoue.
    — Quelle sera la suite de ton histoire avec ce gueux ?
    — Domenic n’est pas un gueux. Il a un beau cottage, mais pas aussi grand que celui où tu es. Il possède quelques terres et la métairie dont il s’occupe est une très importante exploitation. De plus, il sait lire et écrire, il y a des livres ...
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