1. En Érinlande


    Datte: 15/09/2018, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Les jours suivants bien que le ciel soit clément, elle me rejoignait dans mon lit pour se lover contre moi, comme une enfant le ferait. Il n’y avait aucune aguicherie, un besoin de se sentir en sécurité.
    — Il ne se passe rien de plus ?
    — La semaine dernière après la lessive, au lieu d’user des affaires de Fiona, elle a dû prendre une tenue de nuit de ma mère. Tu te rappelles de ma mère, c’était une forte femme. Maureen flottait littéralement dedans. Quand elle s’est endormie, j’ai entrevu dans le jour tombant que la chemise de nuit bâillait, lui découvrant un sein. J’ai cédé à la tentation de lui toucher. Je ne pensais ne l’effleurer qu’un moment, mais c’était si doux, que cela a duré un peu plus. Oh ! pas longtemps quelques secondes. En cessant, j’ai levé le regard et ai vu qu’elle avait les yeux ouverts et me regardait. J’ai retiré mes doigts. Elle est restée immobile. Nous sommes restés un long moment sans rien dire ni bouger et puis j’ai de nouveau avancé la main pour caresser ce téton découvert. Elle a continué à me regarder, sans objecter. J’ai senti la pointe se dresser et durcir. Alors je me suis lancé. J’ai pris le bas de sa chemise pour la remonter. Elle s’est un peu soulevée pour m’aider à l’ôter. Quand elle fut nue, elle est revenue se blottir contre moi. Je l’ai caressée, sans qu’elle fasse mine de se décrocher de moi. Quand enfin je l’ai embrassée, elle a répondu à mon baiser. Point n’est besoin de te préciser comment s’est terminée la nuit. Depuis ce ...
    ... jour, elle vient dans le lit quotidiennement… sans mettre de chemise.
    — As-tu pensé où cela va mener.
    — J’y pense et n’ai pas trouvé de réponse satisfaisante. Elle me plaît, elle me plaît même beaucoup.
    — Et elle ?
    — Je pense que je ne la laisse pas insensible. Elle a l’air sereine et sourit quand elle me voit. Elle ne serait pas ce qu’elle est, je la marierais, mais je ne peux lui apporter l’aisance à laquelle elle est habituée.
    — Elle n’a pas l’air de s’en plaindre.
    — C’est vrai, mais cela ne peut durer. Pour l’amour que je lui porte, je me dois de la préserver. Il faut qu’elle reprenne le cours d’une vie normale pour son rang et ne pas demeurer la maîtresse d’un paysan. Il faut que trouve un moyen de lui faire rejoindre les siens. En attendant, aurais-tu une idée pour lui dénicher un autre hébergement ?
    
    Les deux hommes discutent encore un peu, avant que Domenic ne reparte. Luaine ne revient pas de l’histoire qu’elle vient d’ouïr. Elle ne manifeste pas sa présence, laissant ignorer qu’elle a été témoin de la conversation.
    
    Quand elle retrouve Adela ou plutôt Maureen peu après, elle n’hésite pas à aborder le sujet d’entrée :
    
    — Alors comment cela se passe-t-il avec Domenic ?
    — Fort bien, ma foi.
    — Il est rassurant, surtout les jours d’orage.
    
    Son interlocutrice se trouble. Luaine enchaîne :
    
    — Je sais pour lui et toi.
    — Tu… tu sais.
    — Oui, ton Domenic est venu se confier à son ami et j’ai entendu la conversation. Ainsi tu couches avec celui qui a tué ton ...
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