Marlène (chapitre 11) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 11)

... caresses, avec sa langue sur les contours de son sexe, puis avec un petit vibromasseur qu’elle appliqua directement sur le clitoris. Elle poussa un cri au bout de quelques secondes, puis un autre, à peine une minute plus tard. Elle était à bout de souffle mais aux anges. 
La maîtresse s’était relevée et avait détaché Marlène. Elle ne bougea pas, attendant un ordre pour se remettre debout.

Lève-toi, Marlène, dit-elle. Nous allons nous occuper de cette petite chienne qui nous fait des crises de jalousie. Je compte sur toi pour lui faire regretter son comportement. Comment comptes-tu t’y prendre, pinces, électrodes, brûlures… ?

Je pensais plutôt à une bonne séance de fouet, répondit Marlène. Je dois encore m’améliorer mais j’ai déjà une bonne technique. J’utiliserai un fouet à chevaux, en cuir, long et fin. Appliqué sur tout le corps, des pieds à la tête, en insistant sur le ventre et les seins. Deux douzaines me semblent une punition correcte. Qu’en pensez-vous, Maîtresse?
Tu as carte blanche, Marlène, mais je n’ai pas ce genre d’accessoires dans ma trousse. Je suis sûre que tu trouveras ça facilement dans le donjon de ton maître.
En effet, répondit Monsieur, je vais aller te chercher ça de suite.
Tandis qu’il s’éloignait, la maîtresse saisit Marlène par la nuque, la tira vers elle doucement et posa sa bouche sur la sienne. Elle l’embrassa tendrement, longuement, fouillant la bouche de Marlène avec sa langue. Celle-ci lui rendit son baiser, langoureusement. Kim ruait ...

... frénétiquement dans ses liens, verte de rage et de jalousie, les yeux injectés de sang. Marlène se leva, s’approcha d’elle en souriant, et lui adressa un clin d’œil. Elle voulait la narguer et provoquer une nouvelle rébellion. Cela fonctionna parfaitement. Kim se débattit de plus belle et se mit à hurler de toutes ses forces, traitant sa rivale de salope, de pute et autres qualificatifs désobligeants. Marlène souriait toujours. Le fouet allait arriver et elle allait lui faire rentrer ses insultes dans la gorge. Elle voulait l’entendre hurler, et vite.

Monsieur revint dans le salon, portant en main trois fouets, de longueur, d’épaisseur et de structures différentes. Il les posa sur la table du salon, devant sa soumise.
Fais ton choix, lui dit-il. Et amuse-toi. Elle est à toi.
Marlène prit en main chaque fouet, les soupesant, les caressant, les faisant claquer dans le vide. Elle prenait tout son temps. Elle finit par poser son dévolu sur le plus court des trois, jugeant que l’espace disponible entre les colonnes était relativement réduit. Elle préférait aussi ne pas devoir se placer trop loin, n’ayant pas encore une grande précision dans son geste. Elle voulait aussi être suffisamment près pour bien profiter du spectacle, voir apparaître les marques, entendre les moindres détails des cris, des plaintes, des supplications.
Elle s’en empara et le fit claquer dans le vide, une dizaine de fois. Elle l’enroula aussi plusieurs fois sur les colonnes du portique. Elle s’approcha ...