Marlène (chapitre 11) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 11)

... estime que tu n’as pas fait d’efforts suffisants, tu ne risques rien.
Qu’en penses-tu, Marlène, lui demanda son maître.
Je ferai ce que vous désirez, Monsieur, répondit-elle. Si vous estimez que cela fait partie de mon éducation, je vous promet d’être obéissante et attentive, et de faire le maximum pour progresser rapidement.
Et bien, c’est entendu, dit-il. Nous allons établir un calendrier pour ces leçons. Ce sera à partir du début de la semaine prochaine.

Leur conversation fut interrompue par des gémissements. Kim, toujours suspendue au portique, semblait émerger lentement. Elle avait rouvert les yeux et sa respiration était plus régulière. Sa maîtresse s’approcha d’elle en souriant.
Alors, ma douce, on récupère? lui dit-elle d’une voix doucereuse. Elle lui pinça les mamelons puis lui tritura les petites lèvres avant de la fouiller vigoureusement, entraînant de nouveaux cris et de nouvelles larmes.
Tu aimes ça, pas vrai, ma belle?
Oui Maîtresse.
Ça te donne du plaisir?
Non, Maîtresse.
Alors pourquoi aimes-tu ça?
Parce que j’aime tout ce que vous me faites, Maîtresse!
Et pourquoi, cela?
Parce que je vous aime, Maîtresse.
C’est bien, ma belle, lui dit-elle en lui caressant la joue. Reste là et reprends des forces. Nous n’en avons pas fini avec toi pour ce soir.
Oui, Maîtresse, répondit-elle en baissant la tête.

Viens près de moi, Marlène, dit la maîtresse. Je vais te bander les yeux. Nous allons voir comment tu utilises ta langue. Je vais me déshabiller ...

... et tu vas commencer par me sucer le bout des seins. Je te conseille de t’appliquer et de me donner suffisamment de plaisir. Le portique est occupé mais la table est toujours disponible, et ma trousse à outils aussi. Tu pourras ensuite t’occuper de mon anus et de mon sexe. Je serai indulgente. Je sais que tu n’as encore rien appris, mais je pourrais juger de ta bonne volonté. 
Elle plaça un bandeau noir sur les yeux de Marlène, puis se dévêtit entièrement. Elle la saisit alors par la main et l’amena en douceur à se placer à genoux devant le canapé, où elle s’installa à son tour. Redresse-toi, Marlène, dit-elle. Suis le son de ma voix et trouve ma poitrine. Je te donne dix minutes pour me montrer ce que tu sais faire.
Marlène se pencha sur elle, en tâtonnant avec sa bouche. Ses seins frôlèrent le ventre de la maîtresse quand elle remontait vers sa poitrine. Rapidement, elle put saisir l’un des mamelons entre ses lèvres et délicatement, le caressa avec la pointe de sa langue. Immédiatement, elle le sentit durcir et se dresser. Encouragée par ce premier succès, elle poursuivit sa caresse, passant d’un sein à l’autre, les enduisant de salive. Ne sachant quoi faire de ses mains et n’ayant reçu aucun ordre à ce sujet. Elle les croisa derrière son dos. Elle se rendit assez rapidement compte que la maîtresse prenait du plaisir, sa respiration s’était accélérée, devenait saccadée, et elle laissait échapper de légers gémissements. De son côté, Marlène sentait son excitation monter en ...