1. Marlène (chapitre 11)


    Datte: 27/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... Installe-toi sur la table, je vais t’attacher.
    Marlène frémit. Pourquoi, se demanda t-elle. Qu’avait-elle fait de mal? Elle se coucha sur la table, sans comprendre et de laissa immobiliser, les sangles au cou, aux poignets, aux chevilles, à la taille, au dessus ses coudes et en haut des cuisses. 
    La maîtresse s’approcha d’elle et lui pinça légèrement les mamelons. Tu te demandes ce que tu as fait pour mériter une punition, n’est-ce-pas? Et bien rien du tout. Tu as été presque parfaite. Simplement, tu m’as excitée et j’ai envie de m’amuser un peu avec ton corps. Je suppose que tu es d’accord, je me trompe?
    Non, Maîtresse, répondit Marlène, faites de moi ce que vous voulez.
    
    Elle quitta la pièce, la laissant avec ses doutes et ses craintes. Qu’entendait-elle par « s’amuser un peu avec ton corps »? Qu’allait lui faire subir cette femme que son maître avait décrite comme « l’une des dominantes les plus cruelles que je connaisse »? Une boule d’angoisse lui tordit le ventre et ses yeux s’emplirent de larmes. Elle était impuissante, livrée à cette tortionnaire sadique par son maître. Ses yeux se posèrent sur l’armoire métallique, toujours fermée, et sur la « trousse à outils » de la maîtresse. Elle avait vu, sur le corps de Kim, de quoi elle était capable et des images terrifiantes commencèrent à défiler dans sa tête. Son maître lui avait aussi dit que l’une des spécialités de cette femme, outre les pinces, était la poire d’angoisse, instrument de torture qui la terrifiait par ...
    ... dessus tout. Elle se débattit instinctivement mais ne put pas bouger d’un millimètre. Elle ne pouvait qu’attendre. Cette attente était presque pire que la torture elle-même.
    
    Cette attente lui parut une éternité. Enfin, son maître, la maîtresse refirent leur apparition, précédée de Kim, les mains attachées derrière le dos. Elle semblait avoir repris du poil de la bête. Elle était lavée, recoiffée, toujours sans maquillage, cela lui étant interdit. Les plaies de ses seins, de ses cuisses, de son sexe, étaient couvertes de gel désinfectant, mais devaient rester très douloureuses car elle marchait d’un pas mal assuré. Elle paraissait aussi extrêmement fatiguée.
    
    Monsieur avait fait pivoter le portique d’un quart de tour, pour le placer parallèlement à la table. Il y suspendit Kim, tournée vers celle-ci, pour qu’elle puisse profiter du spectacle. Elle se laissa attacher sans résistance.
    La maîtresse s’approcha de Marlène, s’assit sur le bord de la table et posa ses doigts sur ses seins, les approchant progressivement des pointes.
    Marlène avait des aréoles très larges et très pigmentées, avec des bouts qui se dressaient de plus de quinze millimètres. Ils étaient déjà durcis et dressés.
    Elle a de jolis nichons ta pouliche, Phil. Quels grands tétons! Quelle surface! À ton avis, combien de pinces suis-je capable de mettre sur chacun? Vingt-cinq? Au moins. Je peux déjà en mettre cinq rien que sur chaque bout. Voyons cela.
    Elle sortit une petite boîte métallique de sa trousse, ...
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