Marlène (chapitre 10)
Datte: 23/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... Debout! Tout de suite! ».
Il lui banda les yeux et commença à lui placer des pinces crocodiles sur les aréoles et les mamelons, six sur chaque sein, puis sur les petites lèvres, quatre de chaque côté, avant d’y suspendre des poids de cent grammes. Un total de 2 kilos de métal qui déchirait les chairs les plus tendres de son corps de femme. C’était terrible! Des larmes commencèrent à couler sur son visage et ses jambes se mirent à trembler. Pourtant, elle garda sa position, regard baissé et bouche entrouverte.
Tu vas rester dans cette position pendant quinze minutes, lui dit-il. C’est le temps qui t’était imparti pour t’occuper de Monsieur. Mais tu n’en sera pas quitte pour autant. Tu le reprendra juste après.
Elle avait mal partout. Ces quinze minutes étaient interminables. Des crampes dans les cuisses venaient ajouter à sa souffrance. De plus, son maître avait saisi une cravache et la frappait doucement sur les fesses, sur l’intérieur des cuisses, sur le côté des seins, faisant balancer douloureusement les poids et les pinces. Elle commença à sangloter, puis à crier. Elle y était autorisée pendant les punitions. Elle n’avait aucune idée du temps écoulé et était réduite à attendre et à souffrir. Les coups de cravache s’étaient arrêtés, la laissant à son attente. Elle était pourtant consciente d’avoir mérité cette punition et savait qu’elle ne pouvait en vouloir qu’à elle-même. Elle se concentra sur sa position et attendit la fin du supplice, le visage inondé de ...
... larmes. Elle entendait les commentaires goguenards des quatre hommes qui se régalaient de sa douleur. L’un d’eux se pencha même et tira brusquement sur les pinces de ses lèvres, lui arrachant un cri. L’humiliation intense augmentait encore son sentiment d’infériorité et de soumission totale. Son maître aurait pu intervenir mais il n’en fit rien. Il les laissa faire, sans rien dire.
Elle attendait la fin de la punition, consciente pourtant que le pire moment avec les pinces est celui où on les enlève et où le sang revient dans les tissus. Elle en avait déjà fait l’expérience et se mit à trembler de tout son corps.
Après quelques minutes, elle sentit que l’on commençait à enlever les poids suspendus aux pinces, puis les pinces elles-mêmes. Chaque pince lui arrachait un cri de douleur. Quand il eut terminé, elle sanglotait sans pouvoir s’arrêter.
« Allez, au boulot! Il y a un quart d’heure que monsieur attend! Et fais attention à ce que tu fais. La prochaine fois, ce sont les électrodes! »
Elle s’agenouilla et se pencha sur le sexe du jeune homme. A peine eut-elle effleuré son gland de la pointe de sa langue qu’il lui éjacula en plein visage. Encore un échec, mais qu’aurait-elle pu faire de mieux. Elle espérait que son maître en tiendrait compte. Il ne lui fit en effet aucun reproche mais lui ordonna de reprendre au début, sur le même partenaire. A son souffle saccadé, elle comprit tout de suite qu’il ne serait pas aisé de le faire tenir dix minutes, le spectacle auquel il venait ...