1. Balades


    Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, forêt, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, jouet, Auteur: Ours Gris, Source: Revebebe

    ... devient maintenant accessible… irrésistible… le centre du monde… Tout en bas, le short et la culottes tombés au sol, juste à côté un pantalon qui tombe aussi sur des pieds avec de grosses chaussures de randonnées. Au-dessus des chaussures, des mollets poilus, des cuisses puissantes, des fesses poilues aussi avec de l’autre côté un énorme sexe en érection, un grand manche et un gros gland violacé et turgescent qui avance au ralenti vers les fesses rondes. Des fesses qui, au lieu de s’éloigner du danger, se rapprochent et se tendent vers l’arrière… Des cuisses qui s’écartent largement… Un abricot tout ressorti avec une fente rose au milieu qui laisse apercevoir l’orifice du petit terrier caché sous son camouflage dérisoire de petits poils frisés. Au bout du manche, la grosse masse du gland violet, fendu sur le devant, qui appuie sur la fente fragile… qui pousse… Les portes qui s’ouvrent, le gland qui se fait doucement engloutir, comme par magie… le manche entre à sa suite dans le terrier… Dans le lointain, on entend un gémissement… le gros sexe a disparu, entièrement avalé. Non, le manche réapparaît en tirant avec lui un petit anneau de chair rose tout autour… disparaît… apparaît… disparaît… à chaque disparition un cri étouffé… Hop, il réapparaît, avec toujours le petit anneau de chair autour qui retient le gland… disparaît… un cri encore… c’est comme si cela devait durer éternellement, comme un mouvement perpétuel avec les seins de Martine qui se balancent au même ...
    ... rythme.
    
    Non… il y a un changement, les reins de martine se creusent… le cri étouffé s’est transformé en un cri plus fort et modulé, qui dure, dure… et cesse brusquement. Les jambes de Martine fléchissent et le groupe Martine-Hubert n’étant plus soutenu mais toujours emboîté, glisse vers le sol, les seins se bloquent un instant sur le bord de la table, se déforment et basculent également. Hubert est toujours fermement arrimé aux hanches de Martine, ses fesses poussent toujours le manche qui continue son mouvement d’entrer-sortir pendant la descente mais on n’entend plus le gémissement, seulement un léger bruit de clapotis et un souffle rauque. Le groupe est maintenant allongé sur le sol, les jambes de Martine sont écartées de part et d’autre de celles d’Hubert, un pied de Martine est presque contre le mien, curieusement agité de soubresauts, comme un animal qui finit de mourir. Mon enveloppe charnelle ne voit plus le manche entrer et sortir du terrier, seul un bruit de frottement et le mouvement des fesses poilues permettent de comprendre que le travail continue toujours. La cuisse de Martine est toute raide et ses doigts de pieds sont écartés et bougent comme si elle avait une crampe très forte. Les fesses poilues se durcissent, deviennent toutes rondes, dures. On entend une sorte de grognement… Elles se durcissent encore et encore le grognement… encore… encore… les fesses poilues se détendent… la cuisse de Martine aussi… Cette fois le groupe Martine-Hubert ne bouge plus… plus de ...
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