Balades
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
extracon,
forêt,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
jouet,
Auteur: Ours Gris, Source: Revebebe
... sais pas ce qui m’a pris… j’avais envie qu’il voit tout… jamais je n’avais ressenti ça. S’il n’y avait eu personne, à part toi bien sûr, je crois que j’aurais été capable de tout lui montrer. Ce n’est vraiment pas moi, je ne sais pas ce qui m’arrive…
— Moi non plus je ne sais pas ce qui m’arrive, que ça puisse m’exciter autant de te voir te montrer à Hubert devant moi.
Arrivés à la maison, Hubert entre avec nous, Martine cherche un peu dans ses tiroirs et finit par trouver cette fameuse feuille. Je la remplis en premier sur la table de la cuisine, c’est facile, le nom, l’adresse, la date et la signature.
Nous sommes tous les trois encore sous le coup de l’émotion, chacun avec un ressenti différent. Ma femme qui découvre le plaisir de montrer son sexe, l’autre qui apprécie de le voir… et moi qui prends plaisir à voir faire les deux. C’est dingue !
— À toi, Martine…
Elle se saisit du papier sans rien dire. Je ressens une drôle de sensation, le silence est pesant comme un temps d’orage, Hubert attend immobile près de la table, Martine prend le stylo d’une main qui tremble un peu, elle respire toujours très fort. Elle écrit comme au ralenti… J’ai l’impression que tout est au ralenti… Au ralenti aussi, la main de Hubert qui se pose sur sa hanche… Au ralenti, je recule d’un pas, une émotion forte m’étreint et un drôle de bruit de marteau-pilon résonne en moi… Au ralenti, Hubert avance d’un pas juste derrière elle… Au ralenti, il pose son autre main de l’autre côté ...
... de sa taille, il est tout contre elle… Au ralenti, elle cambre ses reins vers lui, vient à son contact…
Comment peut-elle faire ça ? Je sens bien que si je ne réagis pas il va se passer quelque chose de terrible. Mais je ne peux pas bouger. C’est comme si j’étais en transe hors de mon corps. J’ai l’impression de planer, de voir mon enveloppe charnelle adossée au meuble de cuisine qui regarde sans réagir les mains d’Hubert, toujours au ralenti, qui remontent le chemisier de Martine, faisant apparaître son dos, sa colonne vertébrale, le creux de ses reins. Des mains qui caressent l’agrafe du soutien-gorge, qui n’osent pas le défaire… si… il se décroche. Les seins de Martine jaillissent et pendent sous sa poitrine…
Au ralenti, elle se penche en avant et ses pointes roses viennent frôler la nappe. Les mains redescendent le long de son dos entièrement dénudé, redescendent sur les côtés du short, tirent le short vers le bas faisant apparaître le haut des fesses, la fameuse culotte blanche, à l’origine de tout ce qui se passe maintenant, apparaît. Elle aussi se met mystérieusement à glisser vers le bas, faisant apparaître les deux fesses blanches et rondes de Martine… une Martine qui ne bouge plus, le stylo toujours dans une main, le buste courbé sur la table avec son chemisier remonté jusqu’en haut des épaules, les seins qui pendent, les reins fortement creusés faisant saillir ses jolies fesses maintenant entièrement dénudées, sa raie avec plus bas l’abricot de son sexe qui ...