1. Les plaisirs de l'automobile


    Datte: 28/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... l'arrière en compagnie de Bryan, elle tenait difficilement en place. Quand elle vit que la main de Corinne, tout en conduisant, trainait sur la braguette du costaud qui disait s'appeler Mario, et que celui-ci s'était mis à fourrager sous sa jupe, Célia osa : elle embrassa Bryan sur la bouche. Ce fut une vraie galoche à l'ancienne. Elle n'avait pas embrassé comme ça depuis des lustres. Quand Bryan glissa une main entre ses cuisses, non seulement elle ne résista pas mais elle les écarta.
    
    - Dis donc, tu mouilles ! lui souffla le jeune homme entre deux pelles.
    
    C'était difficilement contestable, comme la bandaison de plus en plus prononcée du gars sur le siège arrière. C'est alors que Corinne gara son monospace sur ce qui s'avéra une petite place donnant sur un lac. Célia connaissait pour y accomplir parfois son jogging. Vu l'heure tardive, il n'y avait personne autour et Corinne s'était garée dans un recoin invisible de la route. Les événements s'enchainèrent alors à la vitesse V. La conductrice embrassa aussi son passager tout en le débarrassant de sa veste et en ôtant son blouson. Le débardeur suivit, libérant deux nichons pesants aux pointes dressées. L'homme y plongea le nez avec volupté. Célia avait aussi laissé Bryan lui enlever son blouson de jean puis son tee shirt tandis qu'elle se débattait avec la braguette de son chevalier servant. Une bite majestueuse finit par surgir et Célia l'engloutit avec voracité. Depuis combien de temps n'avait-elle pas taillé une ...
    ... pipe avec autant de plaisir ? Ces comprimés faisaient vraiment des miracles. Elle leva pourtant la tête pour voir Corinne lui tendre un préservatif, sortir de l'habitacle, dépoitraillée, en compagnie du costaud, puis se débarrasser de son slip, et ouvrir le coffre du monospace, ce qui éclaira l'intérieur du véhicule. La quinquagénaire s'allongea d'emblée, les pieds écartés et posés sur les montants du coffre. Le costaud devait être aussi affamé qu'elle car le monospace se mit à tanguer sur ses amortisseurs sous l'effet des coups de boutoir du mâle en rut.
    
    De son côté, Célia avait aussi fait glisser son string et, jupe troussée, s'était empalée sur Bryan, dûment capoté. Elle était tellement humide que la pénétration s'effectua sans la moindre douleur malgré le manque "'d'entrainement". A genoux sur le siège arrière, dansant sur la bite de son partenaire rendu passif mais bien rigide, Célia ressentit aussitôt comme des décharges électriques dans tout le corps. Elle avait en même temps une vue plongeante sur le coffre ou s'ébattait l'autre couple. Si elle ne voyait que le haut du crâne blond de Corinne, elle percevait parfaitement l'agitation de ses seins lourds et surtout l'activité soutenue d'une bite plantureuse entre les cuisses de sa voisine. Ayant toujours conçu l'acte d'amour dans la plus stricte intimité, elle découvrait la stimulation procurée par la promiscuité érotique, comme si la bite du dénommé Mario l'honorait en même temps que celle du dénommé Bryan. Et pour la ...
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