1. Les plaisirs de l'automobile


    Datte: 28/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... moulait deux spectaculaires melons en toute liberté et soulignés par un profond sillon mammaire. Un véritable appel au sexe. Elle faisait bien dix ans de moins que ses cinquante ans et Célia se sentit flattée et confortée par son accompagnement.
    
    - Tu as pris tes comprimés ? lui demanda Corinne.
    
    - Oui oui, t'inquiète pas.
    
    - Bon, on y va, je connais un bar sympa où on peut danser, ce n'est pas exactement une boite mais on peut au moins se parler.
    
    ********
    
    Deux jolies femmes non accompagnées, cela attire toujours les regards mâles, et elles ne restèrent pas seules longtemps. Après s'être bien défoulée sur la piste, Célia sirotait sa boisson, observant Corinne en train de se faire draguer par un costaud à queue de cheval qui la dominait d'une tête.
    
    - Je peux m'asseoir ?
    
    Célia fut surprise de se trouver face à un jeune homme d'une vingtaine d'années, brun aux yeux bleus, accompagné de son verre. Elle accepta sa proposition et une conversation banale, typiquement boite, s'engagea. Célia était plutôt charmée qu'un joli garçon plus jeune s'intéresse à elle. Elle en serait restée sans doute à cette impression favorable si elle n'avait ressenti en même temps quelque chose de bizarre. Son corps semblait avoir pris son indépendance sur sa tête. Sous la table face au jeune homme, qui disait s'appeler Bryan, ses cuisses s'étaient ouvertes. Dès qu'elle les refermait, elles s'ouvraient à nouveau. Mieux : son bassin exerçait un infime mouvement vers l'avant et Célia ne ...
    ... tarda pas à comprendre que de l'humidité commençait à imprégner sa petite culotte.
    
    Dans le même temps, son regard avait pris un air trouble, ses lèvres s'étaient entrouvertes, humectées par sa langue et, last but not least, ses seins commençaient à lui faire un peu mal. C'était comme si son corps était agité par une flambée de ses hormones féminines. Bryan perçut son trouble, sans toutefois l'identifier totalement. En revanche, quand Corinne revint à la table flanquée de son dragueur, elle comprit d'emblée la nature de ce trouble. Célia avait bel et bien envie de baiser. Le type qui lui faisait face l'excitait au plus haut point. Seule une pénétration en bonne et due forme pourrait l'apaiser. Cela tombait bien, car Corinne avait également une furieuse envie de s'envoyer en l'air avec son dragueur, costaud barbu à la virilité affichée. Il lui avait fait prendre contact avec sa queue en dansant et la quinquagénaire en avait été électrisée. Aussi souffla-t-elle à l'oreille de sa voisine :
    
    - Viens, on s'en va, on les emmène avec nous.
    
    Les deux hommes étaient assez stupéfaits de la facilité avec laquelle ils avaient "levé" ces deux belles blondes, étonnamment ressemblantes. Comme si elles étaient soeurs. Ils se laissèrent entrainer par Corinne qui avait garé son monospace à proximité. Célia avait auparavant interrogé discrètement sa voisine :
    
    - On va où ?
    
    - On va baiser, pardi. Où, je ne sais pas, on verra.
    
    Célia était trop excitée pour trouver à redire. Assise à ...
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