1. Les plaisirs de l'automobile


    Datte: 28/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    Cela faisait maintenant deux mois que Célestin avait quitté la blonde Célia pour une compatriote martiniquaise, marquant ainsi nettement sa préférence pour la même peau que lui et laissant en retour à sa légitime la garde de leurs deux enfants. Dans une séparation, il y a toujours un perdant (pardon pour le truisme) et Célia était celle-là. Non seulement parce qu'elle se retrouvait seule, mais aussi parce que le départ de son conjoint remettait en question son comportement, en particulier sexuel. Il s'était pourtant montré un mari attentionné, ne rechignant pas aux tâches ménagères et à ses obligations de père, rien à lui reprocher de ce côté. Mais c'était à l'évidence le cul qui l'avait éloigné. Célia ne pouvait que constater qu'il préférait baiser cette fille alors qu'en toute objectivité, et à en croire ses collègues et leurs amis, elle était incontestablement une jolie femme, vraie blonde, mince, souple, gracile, aux traits réguliers et aux yeux azur. Elle en voulait pour preuve les sollicitations masculines multiples dont elle était l'objet, tant au boulot que dans la rue.
    
    Alors, qu'est-ce qui avait cloché ? Après avoir tourné maintes et maintes fois le sujet dans sa tête, elle en était arrivée à la conclusion que, sans être absolument frigide, elle n'avait pas montré au lit l'ardeur souhaitée par son viril conjoint. Ce n'est pas qu'elle ne le désirait pas : il était trop bel homme pour en arriver là. Mais il lui manquait à elle un petit truc, une flamme, ce fameux ...
    ... "lâcher prise" que certaines de ses amies ou collègues évoquaient lorsqu'elles en arrivaient à parler de leurs histoires de fesses. En somme, elle restait trop sur son quant à soi et cela lui rendait l'orgasme rare. Mais comment y remédier ? Devait-elle se résigner à être une beauté froide, ce que les hommes appellent "une planche à pain" ou une "glaciaire" ?
    
    Elle s'en ouvrit à sa voisine, de quinze ans plus âgée, avec laquelle elle avait fini par nouer des liens solides. Corinne était mariée depuis plus de vingt ans, elle avait de l'expérience et dans le secret de la confidence, lui avait avoué qu'elle et son mari pratiquaient la "liberté sexuelle" depuis quelques années. D'une certaine façon, elle lui ressemblait physiquement, blonde, élancée, avec simplement quelques kilos et rides en plus. Mais elle était bien plus libre de son corps et d'un esprit beaucoup moins contraint. Elle était la confidente idéale.
    
    Un jour que ses enfants étaient partis avec son ex, que Christophe, le mari de Corinne, s'était absenté, Célia frappa à sa porte. Sa voisine était en tenue de ménage comme tous les samedis.
    
    - J'ai besoin de te parler, tu as cinq minutes ? lui dit Célia.
    
    - Pas de problème, j'en avais un peu marre, assieds-toi, tu veux boire quelque chose ?
    
    - Oui, un café.
    
    Et c'est devant une tasse que Célia finit par se lâcher, raconter à sa voisine ses tourments, ses interrogations, sa culpabilité, et au bout du compte sa demande.
    
    - Bon, si je comprends bien, tu te ...
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