1. Pornoville, ma famille et moi (2)


    Datte: 28/08/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Cassandro, Source: Xstory

    ... intervention. Elle a raison. Sortons les cartons du coffre, oublions tout ça et en avant. Je suis si heureuse.
    
    — Chéri, tu viens ?
    
    J’attends Cassandro devant le gros carton qui contient nos affaires communes. Cassandro hésite, serre le poing puis se décide.
    
    — Je suis ton homme !
    
    *
    
    On va se faire du fric. Ils vont voir ! Je lâcherais pas le morceau. Je vais trouver cette usine de malheur et traîner ses propriétaires devant la justice. Avec ça, je l’aurais la piscine creusée de mes rêves, puis on achètera un chien de race. Ah, et on installera des panneaux solaires. C’est bien, ça, les panneaux solaires. Cassandro, tu vas rendre ta femme et tes enfants heureux, j’en fais le serment sur cette pelouse.
    
    — Cassandro !
    
    — Euh, oui ?
    
    — Mais fais attention un peu, c’est la deuxième fois que tu fais cogner le carton. Il y a la vaisselle en porcelaine de ta mère dedans je te rappelle, c’est fragile, tu as la tête où ?
    
    Je fixe ma femme. Elle rougit.
    
    — Oui, pardon. Mais moi je ne pourrais pas faire autrement. Je ne veux pas en parler. Alors s’il te plaît, mets-y du tien pour qu’on construise des souvenirs qui nous feront oublier ceux de la voiture !
    
    *
    
    J’entends ma belle-mère alors que je sors de la chambre de Lila où nous avons posé son premier carton. Oublier, dit-elle. Eux peut-être, mais moi, je n’ai pas l’intention d’oublier quoi que ce soit. L’aménagement continue dans le calme, moi pas. Je ne suis pas calme. Ils veulent tous faire comme s’il ne ...
    ... s’était rien passé mais moi, je veux baiser ma sœur. Voilà, c’est clair, au moins dans ma tête.
    
    — Dans tes rêves.
    
    — Que… quoi ?
    
    Comment a-t-elle pu ? Oh non, j’aurais dû m’en douter. Je le savais, je le savais. Cette usine, ces intoxications, c’est du bidon. Ce lieu est magique. Oh non, elle a lu dans mes pensées. Pourquoi j’ai pensé des choses pareilles. S’il te plaît Lila, ne me juge pas, je t’aime. Je ne veux pas te baiser. Enfin, euh, si, mais… euh, … respectueusement. Oh non je m’enfonce, c’est horrible.
    
    — Oh ! Pierrot, sors de ta Lune, là ! Tu penses trop, c’est pas possible. Je t’ai dit “dans tes rêves”, tu comprends pas les images ?! Ça veut dire lâche ça et rends le moi tout de suite.
    
    Que… Qu’est ce qu’elle m’a arraché des mains ?
    
    — Attends, il y a quoi dans ce carton ? Je ne sais pas de quoi tu parles, moi !
    
    Lila rougit.
    
    — Oui… bah… tant mieux, dit-elle, embarrassée.
    
    Flûte. Je veux savoir, moi, maintenant, à cause d’elle.
    
    *
    
    — Toc, toc, toc ?
    
    — Bonjour monsieur, Valentine, j’aménage ici avec ma famille. Inutile de toquer, je suis devant vous !
    
    — Oh, excusez-moi, j’essayais d’être drôle mais l’humour n’est pas mon fort !
    
    Qui est cet homme ? Oh non, la journée a été suffisamment rude comme ça. Il est en cravate en plus.
    
    — C’est gentil mais nous n’avons besoin de rien. Nous avons pris nos précautions avant d’aménager.
    
    L’homme est gêné et tente de le camoufler par un rire forcé. Il me met mal à l’aise.
    
    — Oh mais je ne vais ...