Besoin de plus pour...
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
baillon,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Sésame, Source: Revebebe
... lieu où tout est prévu pour ce genre de sauterie. Même les chambres sont fournies. Pensez, si un collaborateur avait un accident avec un taux d’alcool qui dépasse la dose ! Donc tout le monde couche sur place !
J’ai soudain l’idée que l’homme m’entraîne avec une idée tordue derrière la tête. Et si la promotion canapé n’était pas une blague ? Si le patron, Georges, pour les intimes, avait l’idée de me proposer un marché… Qu’est-ce que je ferais ?
Mais je n’ai pas le temps de vraiment approfondir le sujet qu’il s’arrête devant une chambre qu’il va ouvrir ayant en main une carte magnétique.
— Promettez-moi de ne rien dire. Quoi que vous voyiez, quoi que vous entendiez, il est capital que vous gardiez le silence.
Évidemment je m’inquiète de cette demande. Qu’est-ce que cela signifie ? On dirait un conspirateur. À moins que ce soit sa façon à lui pour me faire entrer dans sa chambre. Pourtant je fais un « oui » de la tête.
Il ouvre sans bruit si ce n’est celui du verrou qui se débloque. La pièce est dans le noir. Il avance en m’entraînant. La porte se referme doucement derrière nous. En réalité, le noir n’est pas total, un peu de lumière filtre dessous l’autre porte. On est manifestement dans l’entrée de la chambre. L’homme cherche à pousser la porte de séparation, mais elle résiste, manifestement bien enclenchée.
Déjà je vois mieux. Je devine son visage dépité ! Il n’ose pas ouvrir. Il me fait signe d’écouter. Je retiens mon souffle. Petit à petit, je prends ...
... conscience de ce qui vient jusqu’à nous. Je comprends. Je regarde le visage de l’homme et à ma question muette il me fait un « oui » de la tête. Un couple fait l’amour. J’entends ce qui doit être le claquement des chairs et aussi leur respiration, les petits cris de la femme, le souffle puissant de l’homme. Et puis résonne dans ce faux silence :
— Oui… Oui… Continue… C’est bon… Encore… Au moins avec toi, c’est plus facile. C’est avec toi que j’aurais dû me marier, pas avec Georges…
Le prénom me fait regarder mon voisin. Il fait un signe d’assentiment. Je réalise que c’est donc sa femme qui vient de parler. Je suis perdue. Pourquoi m’avoir amenée ici ? Pour me faire constater l’adultère de sa femme ? Quel intérêt ? À moins qu’il veuille que je le console… ou, plus pervers que…
Mais j’entends.
— Ne parle pas de ton mari pendant que je te baise. C’est aussi mon patron. Ne cherche pas d’excuse. Tu es une salope qui aime le cul… Alors moi ou un autre… Tiens, prends ça… Attends, tu vas voir… Je vais te défoncer le cul… Sale chienne…
C’est la voix de mon mari. Aucun doute, c’est Romain.
L’homme doit sentir que la colère arrive. Je tends la main vers la porte. Je vais leur montrer moi, ce salaud et cette garce… Mais une main ferme me saisit. À nouveau le « chut » avec le doigt. Je me calme. Il ouvre la porte du couloir… Nous sortons.
Heureusement personne dans le couloir pour nous regarder.
— Mais pourquoi ?
Je n’ai pas besoin de compléter : « … ne pas les ...