Besoin de plus pour...
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
baillon,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Sésame, Source: Revebebe
... bas et il me retient pour que je ne m’effondre pas sur le sol. J’arrive à prendre le bout, le gland rose qui me paraît bien plus gros que je ne pensais. En rampant le long de la tige, je peux le redresser. Mais déjà je remarque que sa consistance change. Chaque seconde, la chose molle prend vie. Elle se durcit, gonfle, se dilate, s’agrandit au point que je ne peux la garder en bouche.
Ahhhhh. Mon ventre vibre. Il a mis la boule en marche. Je laisse échapper la bite qui déjà ne retombe plus, mais reste à l’horizontale, bôme de bateau qui continue de se redresser pour se transformer en mât.
— Hé, mieux que ça ! Suce-moi ou il va t’en coûter.
Je sens un coup de la laisse sur mes reins.
— Allez, petite chienne. Montre-nous que tu aimes sucer. Mais peut-être que tu n’es pas bonne et que ton mari va voir ailleurs.
La main est puissance. Elle me redirige vers son pieu. La vibration se fait plus discrète.
J’ouvre les lèvres. Il est énorme maintenant. Manifestement ce petit jeu ne fait pas qu’inspirer le voyeur, mais l’homme aussi. Il m’étouffe de son mandrin que je ne peux pas gober plus d’une petite moitié. Il soulève sa bite pour que je lui lèche les couilles. Le silence est revenu dans la pièce. Enfin un silence relatif, meublé toutefois par mes bruits de gorge et aussi, je n’en suis pas peu fière, de petits gémissements d’Abdou.
Mais une ombre se profile. Une ombre et une voix.
— On va faire autrement.
C’est la voix de Georges.
— Oh, mec, celle-là, ...
... elle t’inspire vraiment. Tu veux pas me la laisser encore ?
— Si, attends.
La main qui m’est tendue, c’est celle de Georges ! Mais un Georges qui s’est dénudé. La première chose que je vois, c’est son sexe. Il bande. Une barre quasi horizontale.
Mais la main me fait se lever. Je le découvre vraiment. Voilà un homme que j’ai rencontré tant de fois, amant virtuel que je n’ai jamais vu autrement qu’en costume et qui m’apparaît dans une nudité particulière. Il est poilu, une épaisse toison lui recouvre la poitrine et si, ce qui fait une transition presque obscène son bas-ventre est lisse, la toison reprend de plus belle aux cuisses. À côté, Abdou fait figure de mode.
Il m’entraîne vers une banquette.
— Allonge-toi.
Mes bras attachés me bloquent. En deux mouvements, il me libère et me guide pour m’installer sur le dos. La banquette est étroite. Mes bras tombent au sol et déjà mes poignets sont de nouveaux attachés. Elle est étroite, mais aussi pas si longue. Je suis en déséquilibre.
Ohhhhhhh. On a remis en marche l’œuf et de nouveau, c’est comme si plus rien n’existait que ces vibrations qui résonnent dans tout mon ventre.
Un bandeau me rend aveugle.
Les vibrations changent. Montées et descentes.
Ohhhhhh. On me bouffe la chatte. Qui fait… C’est bon. Mon clito est aspiré, sucé. Ma chatte vibre. Mon cul résonne. Je gémis. Non, je crie le plaisir qu’on me donne. Je me tortille. Je voudrais encore plus. Mais je sens une chose contre mes lèvres. Une chose qui ...