Besoin de plus pour...
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
baillon,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Sésame, Source: Revebebe
... c’est un peu douloureux, les deux tétons attirés l’un vers l’autre. Mais il n’en a pas terminé, car la troisième extrémité vient s’accrocher à mon collier.
— Parfait. Ça lui va bien. Elle a des tétons parfaits pour ça. Regarde.
Il s’adresse à son complice. De ses doigts il saisit la partie libre, tendue et étranglée par l’anneau, pour la faire rouler. Je gémis, mais la boule ne laisse passer qu’un bruit sourd.
— Tiens, mets-lui ça.
La voix de Georges. Sa main qui tend, venant de je ne sais quel recoin dans l’ombre, un cordage.
Abdou comprend manifestement tout de suite. Déjà il est passé derrière moi et me tire les bras. Il commence aux poignets, mais petit à petit monte pour me lier les deux bras l’un contre l’autre. Cela m’oblige à me redresser et d’une certaine façon propulser encore plus ma poitrine vers l’avant.
En quelques minutes j’ai basculé dans un statut de femelle prisonnière.
Il fait le tour de sa soumise. Étonnement il est silencieux. Il me jauge. Que pense-t-il ? Il jette aussi un regard vers le voyeur. Je ne sais si c’est sur son invitation, mais il va jusqu’à lui. Ils se parlent. À voix basse. Deux hommes sont en train de décider de mon sort. En venant ici, je savais que je m’aventurais sur un chemin inconnu même si la vidéo m’en avait montré quelques codes.
Je suis devant eux, mes épaules me font un peu mal. La boule qui bloque ma bouche déclenche une production de salive que je ne cesse d’avaler avec difficulté. Abdou revient. En ...
... silence il se déshabille. Torse puissant d’un noir profond. La suite n’est pas en reste. Il est nu. Corps d’athlète et je comprends que sa couleur de peau n’est pas la seule raison du choix de Georges pour ce partenaire de jeu. J’imagine Marie dans les bras de cet homme. Soumise auquel le mari offre un cadeau afin que leur spectacle déclenche une libido tourmentée.
Son sexe est une longue tige sombre qui pend entre ses cuisses. Une tige vraiment sombre qui tranche encore plus avec un gland dénudé dont le rose profond amplifie l’aspect fragile.
— Elle te plaît ? dit-il en suivant mon regard.
Que répondre ? De toute façon, je ne peux pas parler.
— Viens, tu vas la goûter.
La laisse est une humiliation supplémentaire. Lorsqu’il tire dessus le collier transmet par les chaînettes une traction délicieuse sur mes seins. Je suis presque étonnée d’apprécier ce traitement. Son côté froid, calculé, théâtral aurait dû me « repousser ». Mais c’est le contraire. Ne plus me considérer comme une femme, une pauvre petite chose fragile qu’il faut ménager, pour me transformer en esclave qui apprend la réalité de ce que la vidéo n’avait fait qu’effleurer.
Il s’assied sur le fauteuil. Il m’aide à m’agenouiller, car mes mains dans le dos me font perdre le sens de l’équilibre.
— Tiens, je te libère… Suce-moi… Je suis certain que tu n’en as jamais eu une comme la mienne en bouche.
La boule quitte mes lèvres, mais déjà il me pousse vers sa tige. Je suis obligée de me pencher très ...