Besoin de plus pour...
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
baillon,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Sésame, Source: Revebebe
... qui pointe pour batailler avec la mienne. Peine perdue, je cède à la force. C’est lui qui explore, il est en moi. Malgré la violence de l’attaque, c’est étrangement délicieux. Je frissonne de son baiser, fougueux, torride, chargé de sous-entendus, une façon indirecte de me dire : « Tu n’es rien. Tu ne décides de rien ».
Et puis, aussi vite arrivé, aussi vite parti. Il est toujours en face et me regarde. J’ai l’impression que ses mains planent vers moi. Soudain je sens un objet qui se frotte à mes lèvres, qui force le passage en les écartant.
Un bâillon. Non, une boule qui entrave ma bouche avec les sangles qui déjà la bloque en entamant le tour de ma tête.
Je résiste. Abdou le sent évidemment, mais Georges, tapi dans l’ombre, aussi :
— Il suffit d’un geste… Rappelle-toi… Tu veux déjà arrêter ?
La question sonne comme une menace. Il m’avait dit : « pas de négociation ». Je fais non de la tête. Abdou tourne autour de moi. Je sens le bâillon se resserrer, la boule est maintenant scellée. Elle doit me donner une drôle de tête. Idée bien ridicule dans ces circonstances, mais qui est déclenchée par une lueur vers Georges ! Une lueur comme celle d’un écran, une tablette ? Que regarde-t-il ? Et s’il nous filmait ? Bien sûr que je suis bête ! Il m’a bien montré une vidéo de sa femme. Organisé comme il est, il doit garder un souvenir de chaque fois. Je n’y avais pas pensé. Je ne veux pas qu’un jour cela puisse se savoir que…
Je vais parler, mais la boule fait son ...
... effet. C’est un bruit ridicule qui ne franchit même pas mes lèvres.
— Tu as quelque chose à dire ? me susurre à l’oreille celui qui est venu se coller à moi.
Non, je fais à nouveau de la tête en pensantJ’en parlerai après.
— Voyons voir ce que cache cette robe… C’est bien de l’avoir choisie avec un zip. J’ai horreur des boutons…
La fermeture Éclair est dans mon dos. La robe, comme tout ce que je porte, est un cadeau de Georges pour crédibiliser notre liaison. J’ai pensé qu’il apprécierait ce choix. C’est Abdou qui va en faire la promotion. Pour l’instant je sens la lente séparation des dents d’acier qui laisse apparaître ma peau et desserre l’étreinte du tissu de cette robe moulante.
Je sursaute. Il a glissé ses mains sur ma taille. Elles descendent un peu le long des hanches, enveloppent d’une caresse mes fesses, déclenchant une onde de chaleur, avant de remonter lentement pour passer mes épaules et repousser les bretelles qui tombent le long de mes bras.
Il me voit en sous-vêtements. Étrangement la tablette qu’il a déposée devant lui, fait une lumière qui me fait deviner son visage. De ces yeux, je n’ai qu’un reflet, mais je sais qu’ils sont fixés sur moi. Se souvient-il de son choix ? Il m’avait accompagnée dans la boutique de lingerie, me conseillant, me dirigeant vers ce qui se faisait de plus sexy, me faisant remarquer que la mode « classique » proposait maintenant des collections que les sites de lingerie érotiques ne renieraient pas. Il avait choisi, ...