Voisinage (1)
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Laure8314, Source: Xstory
... enfoncé jusqu’à la garde dans mon intimité vaginale. Je me suis mise à onduler du bassin d’avant en arrière en le fixant droit dans les yeux. Je sentais son sexe gonfler encore et encore. Mes chairs étaient distendues par l’excitation.
L’homme me plaqua contre Pierre, je le sentis se coller contre moi. Pierre cessa tout mouvement. Son ami pointa son énorme sexe sur mon petit trou et coulissa lentement entre mes reins.
Je me suis retenue de respirer jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi.
— Putain, OUIIII !!!!!! J’ai vos deux Hummm queues en moi. C’est BON !!!!
— Chuuuut, les clients vont t’entendre. Répondit Pierre.
L’ami de Pierre appliqua une main sur ma bouche pour m’empêcher de crier, de hurler, le foudroyant plaisir que je prenais. J’étais ivre, comblée, terrassée par cette sensation, cette double pénétration était magistralement jouissive.
Je n’avais plus aucune retenue, je voulais juste être prise, baisée, remplie. Je voulais que cela dure des heures sans discontinuité, être comblée sans relâche.
Visiblement, mon ardeur et mon émoi furent contagieux. Mes deux protagonistes ne se faisant pas prier pour laisser exploser leurs envies.
— Il te faudrait une autre bite dans la bouche. Lança l’ami de Pierre.
— Ouiiiii. Dis-je sans retenue.
— Dis-nous que tu aimes faire ta salope. Que tu veux être baisée. Dit l’homme.
— Oui je suis une salope, votre salope, faites-moi jouiirrr comme une chienne.
Je ne me reconnaissais plus dans mes ...
... propos. C’était une découverte pour moi les insultes, les mots crus. Je ne dirais pas que cela me plaisait, mais sur le moment oh combien cela pouvait m’exciter. J’étais en total lâcher-prise. En proie à mes deux lascars.
— On devrait l’attacher au paravent et les hommes viendraient enfouir leurs queues dans ta bouche de garce, dans ta chatte ou dans ton cul. Tu serais un gouffre à sperme. Rétorqua Pierre.
Cette déchéance de vulgarité, de dépravation, les fit redoubler d’efforts pour me pilonner sans ménagement. Les yeux mi-clos, renversée par leurs mots qui coulèrent en moi, soumise aux mouvements de leurs pieux brulants, au rythme de leurs coups de reins, je pleure de bonheur, de frustration de ne pouvoir hurler ma jouissance.
Haletante et soupirante, je perds la tête, j’ai le feu dans mes entrailles, je vais m’évanouir tellement le plaisir est intense et profond.
Les queues gonflent, l’ami de Pierre s’astique dans un dernier élan et dans un grognement étouffé, me mitraille le fondement de rafales de foutre, il se vide au fond de moi.
Pierre me fait rouler sur le dos et me besogne sauvagement et dans un dernier râle, libère en moi une quantité incroyable de sperme.
Quelques minutes plus tard, nous retraversons la grande salle et regagnons nos places, nous croisons le garçon de café qui sourire en coin me dévisage de la tête aux pieds. La famille est toujours présente, le père et le fils me regardent en proie à des hallucinations. Je termine ma consommation et ...