Voisinage (1)
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Laure8314, Source: Xstory
Depuis quelques semaines maintenant, je suis la maîtresse de mon voisin Pierre, un grand blond au look surfeur, sa carrure et sa beauté font de cet homme un être attirant et irrésistible. Charmeur de surcroît, je suis entièrement sous son emprise. Je suis incapable de faire preuve de la moindre objectivité le concernant. Du haut de mes 19 printemps, j’en suis folle.
J’ai fait l’amour avec lui la première fois de façon fortuite, totalement sous son charme depuis. Un brin dominateur, je le laisse m’éduquer, laissant libre cours à ses envies, ses désirs, ses pulsions et ses fantasmes.
Il m’a donné rendez-vous dans un café à 18 heures. Il m’avait passé quelques consignes : comment me vêtir, me coiffer, ou encore rougir mes lèvres.
Quand j’arrive, l’endroit est bondé, il n’est pas encore là. Un garçon de café m’accompagne à une table. J’enlève mon manteau qu’il récupère et va le suspendre à une patère. Je prends place sur la banquette et observe autour de moi en attendant.
Soudain, un homme s’arrête à ma table. J’ai la naïveté de croire qu’il fait erreur quand il tire la chaise et s’installe en face de moi. Il me salue, il connaît mon nom. Il hèle le garçon pour nous commander à boire, choisissant pour moi.
Sa détermination, son assurance, sa prestance, son charisme me déstabilisent, mais je lui fais face, je le dévisage.
Je prends chaud, j’ai le feu aux joues. Quand, avec son ton autoritaire, il s’adresse à moi.
— Des bas, une culotte ?
— Quelle sorte de ...
... bas ?
— Des bas agrafés à un porte-jarretelles ?
Je n’ai pas le temps de lui formuler une réponse qu’il m’assène un premier ordre.
— Enlève ta culotte, et quand je l’aurai, tu iras aux toilettes enlever ton soutien-gorge.
— Comment, ici ? demandais-je, surprise.
Sans réponse de sa part, hormis un sourire, je me suis exécutée.
Collant mon buste au bord de la table, je me cambre. A présent, mes mains se faufilent sous ma jupe. Soulevant légèrement les hanches, je réussis à faire passer l’élastique sous mes fesses, je continue. Je repousse encore l’élastique, mon dessous dévale, court me chatouiller les chevilles. Je soulève un talon puis l’autre. Je plonge sous la table et referme ma main sur la soie.
L’homme me caresse le poignet et me fait un signe de la tête vers les toilettes.
Je me faufile entre les tables, traverse une grande salle, où quelques canapés sont installés contre le mur, et, au fond un paravent.
Je pousse la porte des toilettes-dames et ferme le loquet. Je déboutonne mon chemisier, dégrafe mon soutien-gorge, l’enlève et me reboutonne.
Force est de constater qu’à travers le fin tissu blanc, on devine nettement ma frêle poitrine. Je me sens nue et indécente.
C’est alors que j’aperçois Pierre, il discute avec son ami. Me voyant arriver, il se lève et me salue poliment, Pierre s’excuse de ton retard en inventant un contretemps.
J’ai mon soutien-gorge dans la main, je ne sais quoi en faire. Je le glisse discrètement dans mon sac. A ...