1. Voisinage (1)


    Datte: 27/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Laure8314, Source: Xstory

    ... de lumière rougie par le velours qui éclaire faiblement un recoin.
    
    L’homme me retourne, soulève ma jupe. Mes fesses sont nues, bardées d’attaches, me pétrissant allègrement de ses mains puissantes, je sens son souffle sur mon cou, je lui tends ma nuque.
    
    L’ami de Pierre caresse mon derrière, remonte à ma taille, retroussant encore davantage ma jupe. Ses grandes mains descendent sur mes hanches en les triturant. Je me sens fondre inexorablement.
    
    Les mains de l’homme vont me chercher encore plus loin, cherchant à me creuser, à m’ouvrir par-devant. Ses doigts délicieux vont de l’aine à mon pubis, effleurant mes lèvres vaginales, il fait aller et venir ses doigts sur mon intimité trempée. Je me mords les lèvres pour ne pas crier, j’ondule mon bas-ventre pour accentuer cette caresse. Je m’offre, je m’abandonne totalement et sans retenue à cet inconnu. Je ferme les yeux dans un soupir d’extase.
    
    — Ouvre plus tes cuisses.
    
    J’éloigne l’un de l’autre mes talons, il marque de sa main la cambrure de mes reins, je frissonne, il joue avec moi, avec mon corps. J’ai envie d’être prise, de sentir cette colonne de chair qui j’imagine dure s’introduire dans ma cavité de femme.
    
    Je me suis mise à geindre de plaisir lorsqu’il écarta mes fesses et tout en s’agenouillant, il posa enfin sa langue sur moi. Je vacille littéralement sous les assauts calculés de sa langue.
    
    Lorsque j’ouvre les yeux, Pierre est là, mes mains accrochées au châssis du paravent, il me mordille les ...
    ... lèvres.
    
    Je me délecte de la langue de l’homme sur mes cuisses, mon sexe en feu, la cyprine me coule sur les cuisses. Ses doigts gagnent du terrain, je fonds sous sa langue chaude et humide, je m’ouvre, je me dilate. L’ami de Pierre accentue la pression sur mon intimité, je suis prise de frénésie. Mon souffle s’accélère, je halète, je cherche de l’air.
    
    — Je vais JOUIIRRR, dis-je dans un dernier sursaut de lucidité.
    
    Alors, les mains de Pierre m’étranglent. Une vague de chaleur m’envahit, un incendie ravage mes cuisses, mon ventre, mon antre. Prise de spasmes, je suis liquide dans les mains de l’homme. J’inonde ses doigts, ses mains de mon nectar.
    
    La pression des mains de Pierre sur ma gorge apaise ma jouissance, je me calme, je souffle. Ils ne voulaient pas que je parte maintenant, se réservant le droit d’intervenir sur ma propre jouissance.
    
    Nous étions à présent tous les trois derrière le paravent, me retournant, je vis les pantalons boursoufflés qui me mirent l’eau à la bouche, mes yeux embués réclamèrent leurs sexes. J’étais comme hypnotisée, ne détachant pas mes yeux de leurs bosses.
    
    Mes genoux se dérobèrent et c’est à quatre pattes que je me dirigeai vers eux. Mes mains passent sur les deux braguettes dures, collant mes joues avidement, je les sentais se raidir davantage.
    
    Mon visage entier se frotta contre les deux phallus encore prisonniers. Je devenais chienne pour le plus grand plaisir de mes deux comparses.
    
    Enfin, ils se déboutonnèrent.
    
    J’avançais ...
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