1. Un mal pour un bien


    Datte: 25/08/2023, Catégories: fh, ffh, 2couples, fbi, hbi, voisins, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fsodo, confession, libercoup, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... masculine me touchait l’aine, et sans doute la première fois que la sienne glissait sur un corps d’homme ainsi, aussi marqua-t-il un léger temps d’arrêt.
    
    — Tu rases, dit-il avant de reprendre son chemin ?
    — Ma femme m’épile. Magne, mec !
    
    Bourses dans la paume de sa main, il les dégagea du boxer.
    
    — Couilles aussi ? me demanda-t-il.
    — Non, je rase. T’es con ou quoi ? Magne, putain !
    
    Lentement, bien plus que nécessaire, de l’autre main, ses doigts se saisirent de la bête prête à rugir. D’autres circonstances j’aurais imaginé qu’il me caressait plus qu’il ne m’aidait, mais mon attention était ailleurs, et autre. Décalotté de trois doigts, pouce sur le dessus, index et majeur dessous,in extremis, le jet fusa. Jamais je n’avais été si heureux de lâcher la pression !
    
    — C’est ce qu’on appelle une grosse envie, crut-il bon de relever !
    
    J’ai dû pisser durant cinq minutes. À mesure que ça coulait, je me détendais. Enfin, pas entièrement. Si le corps perdait sa rigidité et la tête se libérait l’esprit, un lieu particulier, comme hors de contrôle, se chargeait petit à petit d’une tension grandissante. Un type me tenait la queue pour pisser et je bandais ! C’était involontaire, et incongru surtout. Je sais que l’alcool m’excite, mais de là à l’être en pissant ! OK j’avais trois doigts me tenant la queue, les couilles posées sur le pouce de son autre main, que je sentais me chatouiller le scrotum, mais c’était la main du voisin et pas celle de ma femme quoi ! Merde ...
    ... !
    
    J’ai dû me pencher en avant et viser pour ne pas inonder le carrelage. Celui de l’hosto, je m’en foutais un peu, mais là j’étais chez moi, et incapable de nettoyer surtout. Collé contre moi, il accompagna mon geste en se plaquant plus encore contre mon dos. Moment impensable quelques minutes plus tôt, il me tenait maintenant la bite de tous ses doigts, bite résolument en érection, la sienne, tout aussi à l’étroit dans son jean que la mienne était fermement maintenue. Il bandait lui aussi ! Je le savais pour la sentir, certes à travers le tissu, logée dans le creux haut de mes fesses, mais il bandait. Putain !
    
    Le temps était comme suspendu. J’étais gêné, et lui tout autant, je pense. L’affaire était entendue, mais ni l’un ni l’autre ne savait comment se dépêtrer de cette double érection. Si nous n’avions pas entendu ma femme crier : « je suis rentrée », je n’ose même pas imaginer la suite. Enfin si : il aurait fait coulisser la peau, comme tout homme fait, je pense, après la vidange, ce qui, sur l’instant, m’aurait branlé plus que fait tomber la dernière goutte. Du coup, il se contenta de remonter mon boxer, non sans laisser traîner ses doigts.
    
    — Vous étiez où, nous demanda-t-elle ?
    — Aux chiottes, lui répondis-je d’une voix bien plus troublée que voulu.
    — Ah ! Bon, puisque vous avez déjà pris l’apéro, on va passer à table. J’ai ramené le dîner.
    — Je vais vous laisser, tenta-t-il de fuir.
    — Non, tu restes. Maria se change et nous rejoint.
    
    De voir mon épouse mettre ...
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