Un mal pour un bien
Datte: 25/08/2023,
Catégories:
fh,
ffh,
2couples,
fbi,
hbi,
voisins,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
libercoup,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... comment engager la conversation, alors on s’est tu.
— Bon, on y va ?
— Avec plaisir, répondit-il en se levant.
Deux secondes durant je me suis cru seul au monde. Abandonné. C’est fou la quantité de sentiments qui peut germer en si peu.Je m’voyais déjà en haut de l’affiche, en dix fois plus gros que n’importe qui mon nom s’étalait : cocu.
— Pierre s’est proposé de finir le travail, me dit-elle avant de reprendre sa route, suivi du dénommé voisin, souriant, et qui pouvait la suivre, lui.
Ce n’est qu’en les voyant sortir de la maison, et non prendre la direction du salon ou de notre chambre, que je compris, alors, comme je pus, je les rejoignis.
Rien à redire, il bosse vite, et bien. Ce qui me prenait un jour, il l’installa en quatre heures. Façade décorée, ma femme nous laissa entre hommes finaliser l’agencement du jardin. J’ai apprécié être aux commandes. Quand je dis apprécié je devrais dire joui. Ça, ça va là, et ça là ; et lui, en bon apprenti, il posait, fixait, raccordait. Je jubilais de le voir installer motifs et guirlandes à la perfection, signant ainsi ma victoire de la plus belle illumination du quartier.
Il faisait nuit depuis un moment lorsque tout fut enfin installé et lumineux, et ma femme n’était toujours pas rentrée, alors, reconnaissant, je lui ai proposé un vin chaud. Je bois rarement du vin, sauf en hiver. Les premières années, je l’achetais tout fait, mais depuis deux ans, c’est ma femme qui le prépare, et il n’en est que meilleur. ...
... Évidemment, c’est le voisin qui a fait le service, et rechargé nos verres. Il est plutôt sympa, le voisin quand il a bu un verre. Et presque drôle après plusieurs. À moins que ce soit moi qui sois moins coincé du cul ! J’ai toujours eu l’alcool gai, alors siroter ce nectar à la paille n’a pas entamé mon enthousiasme. Qu’est-ce qu’on a rigolé. Une certaine complicité, certes aidée par l’abus de vin, était née entre nous. Je l’avais peut-être mal jugé, et lui aussi semblait me voir autrement. Mais ce qui devait arriver arriva :
— Qu’est-ce qu’elle fout, ma femme ?
— Elle est avec la mienne. Elles font les boutiques.
— Ouais, bah, ce serait bien qu’elles rentrent parce que j’ai un besoin urgent, si tu vois c’que j’veux dire.
— Pisser ?
— Yes sir. Pas me gratter les couilles.
— Ah ! Si tu veux, je peux… enfin pour pisser !
— Non. Je vais me retenir. Les couilles, ça attendra qu’elle rentre.
— Comme tu veux mais ça me dérange pas. Un autre ?
Verre moitié vide, l’envie devenait urgente. Trop pour que je ne puisse me retenir plus longtemps.
— C’est gênant, mais… OK pour pisser.
Il m’aida à me lever de la chaise haute, puis me suivit jusqu’aux toilettes. En silence, dans mon dos, il défit ceinture, ouvrit bouton, et fit glisser la fermeture éclair de mon jean.
— Magne, lui dis-je sentant que le jet bouillait d’impatience.
Sa main gauche, comme moi-même je fais depuis toujours, partant du bas du ventre, glissa sous le boxer. C’était la première fois qu’une main ...