1. Une histoire texane


    Datte: 14/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... lequel n’est qu’un toutou servile qui mange dans la main de sa chère et tendre, en se laissant cocufier sous ses yeux par une lesbienne, sans jamais protester. Abbie et Cassie sont perverses. Les détenues sont leurs esclaves sexuelles. Elles les entrainent souvent dans les sous-sols de la prison afin de les torturer des nuits entières, par d’impitoyables chatouilles et des orgasmes forcés qui se succèdent jusqu’à la folie. Les couloirs de béton nu résonnent souvent des cris des suppliciées. Jennifer est leur victime favorite du moment. Elle consent toujours à ce que les deux mantes diaboliques lui font subir. Une détenue masochiste est pourtant un inconvénient pour leur passion sadique, ce que compensent largement les charmes de la suppliciée qui se dévêt sans protester de sa tenue orange afin de s’assoir nue dans le fauteuil de cuir.
    
    Dans chacune des cellules, un écran affiche en permanence un compte à rebours en jours, heures, minutes, secondes : le temps qui reste avant l’exécution. Les détenues n’ont droit qu’à une courte promenade solitaire de cinq minutes par jour, à condition de rester dociles. Le reste du temps, elles sont encouragées à passer leur temps à se masturber, en s’aidant, pour celles qui le souhaitent, de godemichés et de vibromasseurs qui sont à leur disposition. Le circuit interne de télévision leur permet seulement de visionner des pornos de lesbiennes. La plupart ne dorment presque pas et regardent continuellement ces images, jusqu’à s’en ...
    ... hypnotiser, tentant en vain d’oublier ce qui les attend au moyen de plaisirs solitaires. Celles qui refusent de se toucher sont punies par des douches à l’eau glacée, ou bien des interdictions d’uriner. Lorsque celles-ci sont enfreintes, même accidentellement, la sanction consiste en une séance de chatouilles au sous-sol particulièrement sévère. L’obéissance entre rapidement dans toutes les têtes : il faut se faire jouir pour ne pas être punie. Ce lavage sexuel de cerveau fait d’elles de véritables nymphomanes au moment de leur exécution.
    
    Chaque cellule est équipée d’un miroir permettant aux détenues de se voir lors de ces voluptueux moments. De même, plusieurs caméras filment discrètement chaque recoin en haute définition, avec le son, en permanence. Il est bien-sûr impossible de se cacher. Les images sont centralisées et des prisonnières condamnées aux travaux forcés sélectionnent les plus excitantes pour réaliser des montages, puis les transmettre à la directrice, qui se caresse en les visionnant. Jennifer est sa détenue préférée. Au moment de la douche hebdomadaire, elles sont autorisées à se caresser entre elles tout en se savonnant mutuellement. Jennifer et Abigail apprécient beaucoup ce moment de douceur entre femmes, même si elles ne sont généralement pas autorisées à se doucher ensemble.
    
    À toute heure du jour et de la nuit, de riches clientes lesbiennes entrent dans les cellules des détenues qui sont promises à la peine capitale afin de les peloter, les sucer, voire les ...
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