Alicia et son papa (24) - Histoires de Sexe

Alicia et son papa (24)

... ajoutai-je à l’attention de Raul.

— C’est parfait. Je te promets une vie entière de brimades, d’humiliations et de punitions. Mais je te promets aussi de toujours être à tes côtés, de veiller sur ta santé et ta sécurité. Tu comprends ?

— Oui, parfaitement, Monsieur. Et pour papa ?

— Tu le serviras comme avant, bien sûr. Tes orifices seront en permanence à ma disposition, à celle de ton père, de mes parents et de tous ceux qui le voudront. Avec mon accord, bien sûr.

— Tu veux commencer quand, avec Ali ? Tu es le bienvenu chez moi dès ce soir.

— Merci, Arnaud. Tout à l’heure, je lui démolirai pour la première fois le trou du cul. Je pense qu’on pourrait même se la partager, pour inaugurer son statut de vide-couilles officielle de la famille.

— En ce cas, elle va charger, car je n’ai pas l’intention d’être tendre.

Quand deux serveurs s’approchèrent, portant les entrées, j’étais rouge comme une pivoine. Mon sort venait de se décider, avec mon accord certes ; mais je ne savais pas grand-chose de ce qui m’attendait. Je devinais cependant que ça allait dépasser mes rêves les plus fous. Le repas se déroula dans le calme, les deux hommes discutaient du futur dojo qui serait inauguré dans un mois, du grand appartement en forme de loft qui se trouvait à l’étage. Papa envisageait de venir y vivre avec Raul et moi. En attendant, il proposa à celui-ci d’habiter chez nous.

— Tu verras, il y a de la place, même si ça n’a rien à voir avec le manoir de tes ...

... parents.

— C’est d’accord. Nous devrions pouvoir déménager fin novembre pour le loft et les nouveaux locaux. Alicia commencera à suivre une formation comptable chez un ami, si tu es d’accord.

Il ne s’adressait pas à moi, mais à papa, qui hocha la tête pour donner son accord. À la fin du repas, je récupérai mon étole et nous montâmes dans la grosse berline. Babacar conduisait souplement pour ne pas brusquer ses passagers ; il stoppa juste devant chez nous, et Raul m’ordonna :

— Sors de la voiture et mets-toi à poil. Garde juste tes bas et tes chaussures. Pour remercier le chauffeur, tu lui tailleras une pipe à genoux sur le trottoir. Quand tu rentreras, je vérifierai si tes bas sont filés ou tes chaussures râpées. Si c’est le cas, attends-toi à une bonne raclée.

— Bien Monsieur.

Je fis très attention en m’agenouillant ; je frissonnais de froid et de peur alors que Babacar se plaçait devant moi. Un rapide coup d’œil m’avait appris qu’il n’y avait personne dehors, mais à tout moment, un voisin promenant son chien pouvait passer. J’engloutis la verge épaisse du vigile et la pompai avec vigueur en malaxant ses lourdes couilles. Il saisit ma nuque et donna des coups de reins dès que son mandrin fut bien raide, s’enfonçant dans ma gorge à chaque fois. Je ne résistais pas, au contraire, je déglutis pour l’accepter à fond. Mes lèvres autour de sa base, je léchai et suçai, mes déglutitions répétées pompaient la colonne de chair en cadence.

Il éjacula directement dans mon œsophage ...