Naturels - Histoires de Sexe

Naturels

... masturberait comme une petite folle, puis jouissant à son tour dans mille petits cris sexy désarticulés !

Aaah, se vider encore et toujours, se sentir partir vers d’autres cieux ! Jouir comme pas possible !

Si toutes les séances d’enregistrement se terminent de la sorte, je sens que je vais inonder les chaînes de télévision avec des tas de programmes courts !

La série courte dans laquelle Magalie débite des horreurs d’une voix gourmande est un franc succès. La chaîne, qui la diffuse, veut plus d’épisodes, encore plus. Pour l’instant, je temporise, car je crains de lasser en faisant dans le quantitatif. Tandis qu’elle se verse une tasse de café, ma compagne est d’accord avec moi :

— Quoi ? Ils veulent carrément doubler la fréquence ? Ils sont malades ou quoi ?
— À terme, si on les écoutait, on devrait même tripler la fréquence.
— Ils sont complètement malades ! C’est déjà très bien comme ça !

Je lui montre le journal que j’ai en main :

— Merci d’être d’accord avec moi, ma chérie. Tiens, dans un article de ce journal, ils disent que tu es parfaite dans ce rôle.
— Je suis toujours parfaite dans mes rôles ! Même si on louchait nettement sur mes seins ou sur mon cul, plutôt que sur mon talent inné !

Je souris. Rapidement, je retrouve la bonne page :

— Justement, ils en parlent en écrivant : nous constatons avec bonheur que l’actrice ne se résume pas à ses attributs, si charnels soient-ils. Plus loin, ils ajoutent : une belle mature caressée par une ...

... caméra amoureuse…

Un peu vivement, elle pose sa tasse :

— Si charnels soient-ils : une façon déguisée de dire que je suis grosse ?
— Par rapport à ton ex-camarade de métier qui fait dans le film d’auteur, je suis obligé de dire oui. Mais, il faut dire qu’elle est aussi épaisse qu’un manche à balai !
— C’est ça qu’elle doit avoir dans le cul pour être aussi guindée !
— Tu as une fascination pour le cul et ce qui rentre dedans, ma chérie !

Ostensiblement, pivotant à moitié, elle dandine du popotin :

— C’est ça, plains-toi, pauvre chou ! Mon cul, tu l’adores !
— Je n’ai pas dit le contraire… et je vais te le prouver tout de suite !
— Eh, mais ! Qu’est-ce que tu fais !

Je me suis levé en quatrième vitesse, me plaquant dans son dos, me frottant impudiquement sur son mignon popotin, ses gros nichons moelleux déjà entre mes mains rapaces. Je fais qu’elle soit en nuisette m’aide beaucoup à palper sa chair débordante. Je la mordille délicatement dans le cou, elle proteste faiblement :

— Au viol ! T’en as pas eu assez hier soir ?
— Nan, nan ! Je n’en ai jamais assez de toi !
— T’es qu’un gros obsédé ! Pourtant, à te voir comme ça, tu sembles si honnête !
— Je suis z-honnête, je suis juste fou de toi !
— Yiiik !

Ça, c’est le petit cri qu’elle pousse à chaque fois que je lui dévore assidûment le cou ! Je glisse une main sous la nuisette pour aller capturer un sein ballant, tandis que mon autre main descend vers son pubis pour aller ensuite dénicher plus bas un ...