Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... était énorme. On décida de faire des week-ends débroussaillage, de s’adjoindre les compétences d’un paysagiste du quartier, de faire venir le commissaire-priseur de la salle des ventes pour évaluer mobilier et objets divers, de faire les plans de l’existant et celui des transformations. Il y avait du pain sur la planche, mais j’avais hâte que le pot de clôture soit terminé. J’avais très envie de sauter Claudia ! La remise en place de la salle me parut durer une éternité, d’autant que la coquine avait reçu le message cinq sur cinq : je m’aperçus rapidement que, sûrement à l’occasion d’une pause pipi, elle s’était débarrassée de son collant. Je congédiai gentiment les petites mains secourables qui nous avaient aidés pendant que Claudia passait un dernier coup de balai. Je la coinçai dans la remise de matériel sans fenêtre quand elle rangea ses outils. Un baiser furieux en pétrissant ses seins, un retournement sur une pile de chaises, jupe soulevée et culotte baissée, et j’enfonçai ma queue palpitante dans sa chatte heureusement détrempée. Ce fut un assaut furieux, bestial, d’une urgence absolue. Entre deux râles et halètements, elle confia :
— Venez en moi, je prends la pilule maintenant…
— Ah ! Tu veux mon foutre dans ton ventre, petite coquine, rugis-je, fou, fou de plaisir et de désir mélangés.
— Oui… Oh oui…
— Tu aimes ça, hein, belle salope, te faire bourrer ta petite chatte…
— Oh oui…
— Ta petite chatte serrée de pucelle…
— Ouiiiii…
— Tu aimes te faire baiser, ...
... hein ?
— Oh oui…
— Je vais te bourrer comme la salope que tu es, hurlai-je en lui claquant les fesses…
— Oui… OUI… OH OUIIIIII…
Elle aimait ces mauvais traitements, ces odieuses paroles que je ne lui aurais jamais dites si je n’étais pas fou, enivré par cette folie sexuelle, aussi puissante qu’elle s’était fait attendre. Elle hurlait « oui » et « encore » à chaque claque reçue. J’ouvris sa veste, arrachai les boutons trop petits de son chemisier et remontai son soutien-gorge. Ses gros seins ballottaient sous mes coups de boutoir, eux aussi eurent droit à des claques, la main verticale, en visant essentiellement les pointes. Elle me rejoignit dans ce délire, criant, réclamant plus, tremblant de tous ses membres, ses talons vibrant sur le carrelage. Ma main glissa jusqu’à son clitoris que je massacrai en le pressant contre ma hampe allant et venant ; elle explosa dans un hurlement d’agonie, agitée d’incoercibles soubresauts. Je lâchai une réserve de quinze jours en longs jets épais dans ses entrailles, les reins fouaillés par les lames d’acier de l’orgasme. Elle se laissa glisser au sol comme un pantin de chiffes molles. Je lui pris la nuque et lui fourrai ma queue encore palpitante dans la bouche, lui donnant à sucer mes dernières gouttes de semence mêlées des parfums de sa cyprine. Elle absorba tout sans regimber. L’aidant à se relever, je pris sa large culotte de coton encore accrochée à une cheville, en fit une boule et lui essuyai l’entrecuisse ; puis je la glissai ...