Chrysalide - Histoires de Sexe

Chrysalide

... que vous lui plaisez…
— Vous croyez ? Non…
— Allez donc aux toilettes, je suis sûr qu’il va vous suivre.
— Ben… Pour quoi faire ?
— Vous vous souvenez de ce qu’on a fait hier soir ?
— Oh oui…
— Eh bien, c’est de cela qu’il a envie…
— Quoi ? Aux toilettes ? Mais c’est ignoble !
— Et si je vous le demandais, moi, vous viendriez aux toilettes ?
— Oui, mais vous, c’est pas pareil.
— Pourquoi ?
— Parce que c’est vous. Et puis… Un inconnu… Comme ça, aux toilettes… Beurk ! C’est dégoûtant.
— Tant pis pour lui !

Nous reprîmes la route, étroite, cahoteuse et sinueuse longeant le lac. À l’heure où pépère promène mémère, la vitesse maxi c’est 40. Heureusement qu’il n’y avait pas foule. J’avais envie de savoir jusqu’où elle pouvait aller pour moi. Alors j’ordonnai :

— Pose ton pantalon.

Elle le fit, sans hésiter. Je glissai ma main entre ses cuisses et commençai à la caresser. Ses cuisses s’ouvrirent, elle se débarrassa d’une chaussure et posa son pied sur le tableau de bord pour mieux s’offrir.

— Ouvre ta veste et caresse-toi les seins.

Elle osa le faire aussi et c’était beau ces gros seins agités par les sursauts de la route et palpés par ces mains de femme. Mes caresses suivaient le rythme des nids de poule et des rustines de macadam. Elle s’offrit un petit feu d’artifice, pas celui du 14 juillet sur la tour Eiffel, mais un petit bouquet de sous-préfecture le jour de la fête patronale.

— Branle-moi !

Elle se tourna, descendit ma fermeture et se mit ...

... en action, avec les mêmes inconvénients dus à la chaussée. Ça me tira un petit « Aïe ! », elle était confuse et je réclamai :

— Suce-moi plutôt (chien de Mickey).

Je reculai un peu mon siège, elle dégrafa ma ceinture et se mit à l’ouvrage, mettant à profit tous mes conseils, autant que la position et le volant le lui permettaient. Elle s’y prenait bien, jouant de la langue et des doigts et me pompant à la perfection. Elle ramena une jambe sous elle, sur son siège, et son généreux fessier dénudé dépassait un peu la hauteur de la fenêtre. Nous traversions des villages déserts, juste une brave dame secouant la nappe du midi à son balcon ouvrit une bouche aussi large que l’entrée du tunnel sous le Mont-Blanc, prouvant qu’elle venait de comprendre ce qui se passait dans ma voiture. C’était délicieux de subir ainsi une fellation en conduisant. Les cahots ajoutaient de l’imprévu à l’action de ma partenaire et je sentais la montée inexorable de ma jouissance.

— Attention, je vais venir… Bois bien tout.

Elle ne se retira pas, crispa juste un peu ses mains sur ma hampe et mes testicules, et le liquide sous pression lui gicla dans la gorge. Un peu surprise par la violence des jets, elle suffoqua un instant, mais reprit vite son calme sans me lâcher, ainsi que son souffle en me lançant un regard à la fois triomphant et attentif à mon plaisir. Elle replongea pour parfaire son œuvre par un nettoyage complet. Elle rangea délicatement et soigneusement mon matériel, se redressa un ...