Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... mettait tant de cœur à l’ouvrage que je ne pouvais lui en vouloir. En revanche, ce qu’elle réussit remarquablement du premier coup avec une intense satisfaction, ce fut la cravate de notaire. Il est vrai que ses seins généreux et fermes se prêtaient bien à cet exercice.
Quand elle proposa d’aller dans la chambre, je refusai et lui rappelai sa promesse de préparer un somptueux repas pour lequel nous avions aussi fait des emplettes. Seul le tablier fut autorisé pour cette activité. Ce ne fut pas la petite chose de dentelle blanche que l’on aperçoit sur le costume de la parfaite serveuse sexy, mais un bon gros tablier de coton imprimé qu’elle avait fait elle-même pour les tâches salissantes. Peu importait, c’était malgré tout extrêmement excitant : dos totalement nu et fesses à l’air, seins repoussant loin le plastron et ouvrant de larges perspectives latérales. Je continuais de bander fort, insinuant mes mains partout à la moindre occasion et lui provoquant des sursauts et des tétanies qui ne faisaient guère avancer la préparation. Pour le service, j’exigeai qu’elle enfilât ses bas à couture, porte-jarretelles et soutien-gorge à balconnet. Malgré l’excellence de son rôti de veau au foie gras et figues fraîches, mes yeux ne quittaient guère les deux obus de ses seins modelés par l’accessoire coquin.
— Vous m’avez tellement retardée que je n’ai pas eu le temps de préparer de dessert… Mais il y a des fruits.
— Vous me refaites le coup de la salade au fromage blanc ?
— ...
... Non, ce sont des cerises.
— Parfait, mais il nous faut débarrasser la table avant.
Elle ne comprit que lorsque je l’aidai à s’étendre sur la table juste devant ma place, cuisses ouvertes au bord du vide. Trempant les cerises une à une dans sa jolie corolle épanouie, je me délectais et lui faisais partager ses goûts intimes. Elle gloussait à chaque fois que le fruit froid entrait en contact avec sa muqueuse bouillante et humide à souhait. Ce qui devait arriver arriva, une cerise se décrocha et je dus aspirer fort pour la récupérer. Rires et plaisirs. Quand, quelques cerises plus tard, la seconde se décrocha, elle était beaucoup plus loin. J’eus beau aspirer, elle eut beau contracter son vagin, la récalcitrante ne voulait pas sortir. Quand je dis qu’il fallait opérer, elle prit un air terrorisé. Passant en cuisine, j’enfilai le tablier et m’emparai du beurre. La terreur fit place à l’étonnement. Jambes bien levées, j’entrepris d’oindre copieusement sa petite rondelle encore vierge pour permettre l’intromission de mon doigt luisant. J’étais curieux de voir sa réaction. Crispée au début, je dus la détendre en lui demandant de se relaxer, de rêver qu’elle était en train de flotter sur un matelas pneumatique, au milieu des eaux turquoise d’un lagon… Mon doigt finit par être accepté par son petit trou extrêmement serré. Quand je lui demandai d’imaginer que le serveur noir de l’hôtel, nu, son immense sexe dressé pour elle, s’approchait du matelas pour lécher sa vulve avec sa grande ...