1. La nuit du slam


    Datte: 09/08/2023, Catégories: f, h, fh, ff, fhh, grp, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, Masturbation Oral fgode, fdanus, jouet, uro, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... bon rythme, sans oublier de me chronométrer afin de respecter la fameuse limite des trois minutes au-delà de laquelle on encourt une pénalisation.
    
    Et le fantasme se fait verbe ! Je mimais les punitions que je recevais à l’internat de la part des bonnes sœurs, en me claquant moi-même, de toutes mes forces, les fesses qui devenaient écarlates au plus près du micro, pour que chacun puisse bien entendre. Ensuite, arrivée à la moitié du poème, j’ai commencé à tripoter mon clitoris dans tous les sens, avec mon majeur, les jambes écartées. Dans le texte, il était question d’être enfermée nue dans un cachot obscur et plein de toiles d’araignées, après une humiliante séance publique de flagellation du bas du dos afin de servir d’exemple à celles, dans le pensionnat de jeunes filles, qui s’adonnent au péché solitaire de l’abus de soi-même. Les autres pensionnaires, horrifiées, assistent à mes tourments, vêtues de leurs sévères uniformes, tandis que j’ai été forcée de me dévêtir devant toutes comme je me suis dévêtue devant mon public. Bien sûr, une fois emprisonnée, je me livre avec délectation à ce pour quoi j’ai été sanctionnée, avec l’aide bienvenue d’une compagne d’infortune venue bientôt me rejoindre pour avoir commis la même faute. Nous nous consolons ensemble, et séchons nos larmes à grand renfort de langues fouillant le sillon intime, entre autres blandices complices, pour nos fesses meurtries et toutes rouges. Quitte, en récidivant, à expier de nouveau sous l’impitoyable ...
    ... férule de la mère supérieure, encore et encore. Voilà pour l’histoire que je racontais.
    
    Sur la scène, une terrible envie d’uriner exacerbait le plaisir en labourant mon ventre de sensations incendiaires. J’avais l’impression que ma vessie était sur le point d’exploser. J’ai même envisagé d’ouvrir les vannes sur la scène et d’arroser le premier rang. J’aurais dû, parce que quelqu’un d’autre l’a fait après mon passage, et ce geste a plutôt été bien accueilli. Mais avec cette masturbation brouillonne, j’ai mis le feu à mon ventre, mais je n’ai pas eu le temps d’atteindre la jouissance : il m’aurait fallu quelques minutes de plus. Vers la fin, j’ai entendu une femme hurler sa joie, au fond, vers les derniers rangs. L’avais-je tant inspirée qu’elle ne puisse retenir ses cris ?
    
    Je pense avoir fait une honnête prestation avec une note de 9,15 : loin de m’assurer la victoire, cependant. J’ai cru que Noémie avait l’habitude de se montrer de la sorte, mais par la suite, j’ai su que non : c’était également la première fois pour elle. Elle avait ce spectacle en elle et a su tout donner. Puis je suis rhabillée, et me suis immédiatement soulagée dans le sous-bois où d’autres gens en faisaient autant. Bien que lesbienne, j’ai toujours trouvé intéressant de voir un homme pisser debout, bien campé sur ses jambes, et celui que je regardais ne faisait rien pour dissimuler son anatomie sous la lueur lunaire. Je me suis approchée de lui. C’était Nounours. Il avait le pantalon et le slip aux ...
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