Le Grand Paradis
Datte: 06/08/2023,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
hplusag,
jeunes,
asie,
inconnu,
fépilée,
lunettes,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
occasion,
lieuloisi,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... de lourds meubles de bois massif de style espagnol, je crois, l’intérieur est vraiment beau et de bon goût. Elle m’entraîne jusqu’à la chambre et me dit sans détour : « Fais-moi l’amour ici, je veux t’avoir ici dans mon souvenir… » Je m’exécute, la déshabille, la caresse, mais elle est tendue. Je mets ma tête entre ses cuisses pour tenter de la mettre en condition, mais c’est plus ma salive qui mouille son vagin que ses sécrétions. Elle me prend la tête pour m’attirer sur elle et me tient là, à bout de bras, me regardant intensément. Contrairement à l’habitude, son corps ne réagit pas et son regard me gêne par sa fixité. Elle sent mon désarroi et détourne la tête, nous observant dans le miroir de la grande armoire. Après quelques instants, sachant mon penchant pour ses petites fesses, elle me les propose en se mettant à quatre pattes. Le miroir lui renvoie bien l’image de mon pénis dilaté allant et venant en elle, et ça finit par l’exciter un peu. J’accélère mes mouvements et ne retiens pas la montée de mon plaisir, voulant abréger cet épisode raté, ça arrive. Elle frémit un peu au contact du sperme qui gicle en elle, rien à voir avec sa folie furieuse de la veille. Nous remontons au chalet silencieusement, dînons de quelques restes pour finir de vider le frigo qu’elle débranche. Dès notre entrée au lit, elle éteint la lumière. Quelques instants plus tard, elle pleure à gros bouillons, je ne parviens ni à la calmer ni à la consoler. Impuissant devant ce chagrin, je finis ...
... par m’endormir. Quand je me réveille, la lumière est allumée, elle est appuyée sur un coude me regardant dormir.
— Pardon si je t’ai réveillé…
— Non, je ne crois pas, le bruit de ton regard peut-être…
— (elle sourit) Tu dors comme un enfant. Dors encore, il n’est que deux heures. Attends, j’éteins.
Elle vient se blottir contre moi, toute douce et calmée. Elle me caresse doucement la poitrine, puis le ventre, et enfin ses doigts agiles s’attardent sur mon sexe qui réagit rapidement. Elle l’empoigne et me masturbe avec précision et ténacité ; avec force, à la limite de la douleur, avec douceur, à la limite de l’insupportable, elle joue avec mes nerfs et mon sexe. Titillant le méat, pressant les testicules, griffant doucement le prépuce, elle agit avec une incroyable dextérité. Puis, sentant qu’elle peut mettre fin à mon supplice au vu de mon corps tendu comme un arc entre épaules et talons, elle accélère brutalement par salves successives jusqu’à provoquer mes soubresauts de plaisir. Elle place sa main en capuchon pour recevoir les jets de sperme, puis lèche sa main et plonge sous la couette pour lécher mon ventre et mon pénis.
— Cadeau, dit-elle en ressortant la tête.
— Merci…
— Non, pas merci. Sinon, moi, il faut que je dise mille fois merci. Trop fatigant.
Éjaculer apaise et je m’endors rapidement. Quand je me réveille, il fait grand jour, et je l’entends s’agiter dans les profondeurs du chalet. Je descends, elle me fait un café puis débranche la machine et la ...