Le Grand Paradis
Datte: 06/08/2023,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
hplusag,
jeunes,
asie,
inconnu,
fépilée,
lunettes,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
occasion,
lieuloisi,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... plus belle, excité par cette nouvelle apparence. Elle adore ça et s’offre sous toutes les coutures à mes mains, à ma bouche gourmande. Nous repartons pour une troisième séance, d’amour-tendresse cette fois-ci, toute en gestes doux et caressants, une sorte de volupté apaisante. Elle se termine quand Franca est sur moi, me serrant dans ses bras, n’oscillant que son fessier. Mon pénis coincé en elle et replié par sa posture lui laboure les entrailles de plus en plus fort, son clitoris doit profiter également du frottement de ma hampe, je jouis en elle et elle jouit silencieusement par un long tressaillement. Je nous recouvre de la couette et elle s’endort ainsi sur moi, si légère et si tendre, sa tête au creux de mon cou. Nous nous réveillons tard le lendemain, encastrés l’un dans l’autre, ses petites fesses chaudes contre mon ventre, tout ébaubis par notre soirée et notre nuit.
Je l’emmène déjeuner à Gimillian, au Belvédère, puis visiter la cascade de Lillaz, pourtant si proche, où elle n’était jamais venue. Puis nous descendons sur Aoste en passant visiter le pont romain. Promenade dans les rues piétonnes, je lui offre un bracelet de pacotille qui lui faisait envie, nous dînons dans une cave voûtée, la Taverna Nando, puis nouvelle promenade dans les rues illuminées. Nous remontons au chalet vers onze heures, le clair de lune accompagne nos dernières cigarettes. Elle me dit soudain ne s’être jamais sentie aussi bien, aussi totalement heureuse avec un homme, et qu’elle pense ...
... être tombée follement amoureuse. Je lui dis être bien également, mais que nous savons bien l’un comme l’autre qu’il n’y a pas de lendemain possible. Ses racines sont ici, les miennes sont en France et ni l’un ni l’autre ne pourraient les abandonner sans blesser un tas de gens. Si notre aventure est si belle, c’est que nous en connaissons la fin, toute proche, et que nous vivons ces instants à 150 % justement parce qu’ils sont éphémères. Elle me dit savoir que j’ai raison, mais reste nostalgique quand nous montons à la chambre. Ce soir, elle me fait l’amour comme une folle, à corps perdu, sans la moindre retenue physique ni sonore. Elle se donne sans limites, avec fougue, avec rage même, jusqu’à la sodomie, criant de douleur, hurlant de plaisir, me poussant à la sauvagerie pour satisfaire ses inépuisables désirs. Demain seront mon dernier jour et ma dernière nuit auprès d’elle, elle veut tout. Je retombe mort d’épuisement, vidé de toute substance. Elle dégouline de sperme, sourit aux anges et s’endort ravie.
Pour ce dernier jour, je voulais l’emmener au lac de Rhèmes Notre-Dame, ou à Chamonix, à la mer de Glace. Elle refuse et tient à prendre sa voiture. Elle me conduit dans la vallée, dans un village périphérique d’Aoste. Nous parcourons un dédale de rues étroites au milieu de jardins fleuris de villas cossues. Elle s’arrête devant l’une d’elles et ouvre le portail : « C’est chez moi. » La maison est grande, mais banale, sur sous-sol et sans étage. Carrelée de marbre, avec ...