1. Le Grand Paradis


    Datte: 06/08/2023, Catégories: fh, ff, fffh, hplusag, jeunes, asie, inconnu, fépilée, lunettes, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, fsodo, aventure, occasion, lieuloisi, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... pénétrer dans son propre vagin et venir me titiller le gland à travers la fine paroi. C’en est trop, j’explose en elle et me déverse longuement tandis qu’elle râle de plaisir et de satisfaction.
    
    La blondinette sort mon sexe du cloaque et, sans le moindre dégoût, en fait une toilette approfondie, me tirant encore quelques spasmes. Elle n’a pas eu son compte et serait bien prête à recommencer. Nous sommes en sueur, car en plus de l’isolation et de l’exercice le soleil vient d’atteindre la toile de tente. J’ouvre un peu tout en restant prudent ; je ne voudrais pas que Franca me voie dans cette situation sans équivoque, elle serait bien capable de m’arracher les yeux. Après quelques instants de repos, nous discutons gentiment, autant que l’on puisse le faire dans un anglais qui n’est manifestement pas notre langue maternelle. Les filles disent que ma tente est rudement confortable et qu’elles voudraient bien y dormir, qu’on serait bien tous les trois et qu’on aurait toutes les nuits pour faire plein de choses. Elles sont insatiables à cet âge-là. Mais ça ne m’enchante guère.
    
    D’une part, j’aime bien ma tranquillité et je n’apprécie guère qu’elles m’imposent leur présence, d’autre part je me sens aussi un peu « vieux cochon » avec ces deux jeunettes. La petite aventure avec la patronne italienne du camping me convient parfaitement : une jolie distraction de vacances, avec une femme libre, jeune, mais plein d’expérience et de souffrances à soigner. Alors que les deux cocottes ...
    ... piquent le plaisir au hasard des rencontres, sans plus de discernement que de retenue. C’est pour moi bien moins savoureux, même si je viens de prendre un réel panard. Je réponds donc qu’il n’en est pas question puisque ce soir je ne dormirai pas là, mais au refuge. Je mets tout le monde dehors et je prépare mon sac à dos. Elles reviennent à la charge quelques instants plus tard, me demandant de m’accompagner. Je sors alors une paire de crampons à glace, un piolet et une grande corde, leur indiquant que c’est impossible parce qu’elles ne sont pas équipées pour cela. Me voilà donc en train de fuir ces donzelles vers les cimes, bousculant ainsi ma préparation. Je passe voir Franca pour la prévenir de mon départ subit, ce qui lui rend son air pincé. Je me justifie en lui disant avoir entendu à la radio que le mauvais temps arrivait dans trois jours, qu’il fallait que j’en profite.
    
    — Et les filles ? me demande-t-elle, soudain prise d’un doute.
    — Elles restent là, elles sont vraiment collantes et elles me fatiguent. Elles voulaient occuper ma tente parce qu’elles ont froid dans la leur…
    — Ne t’inquiète pas, je surveille. Ma demain c’est l’employée qui va venir. Je vais chez la mamma.
    
    Elle m’attire prestement dans son petit couloir et m’octroie un long baiser tendre. Nous sommes interrompus par l’arrivée bruyante du bambino. Je file, enfin… Je me traîne sur le sentier. Toutes ces folles m’ont épuisé et je ne suis pas suffisamment entraîné à la marche et à l’altitude. Quand ...
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