C'est beau la Beauce
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
fépilée,
campagne,
voiture,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
uro,
couple,
Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe
... Bernard. En embrassant Françoise, elle me dit doucement à l’oreille sans que Maryse puisse entendre :
— Tu as beaucoup de chance avec ta compagne, j’aimerais être à sa place.
Je repars tout chamboulé par ces paroles qui sont venues me piquer le cœur. C’est vrai que Françoise est attirante mais je respecte Maryse qui me le rend bien alors, même si nous avons eu instantanément de l’attirance, je dois l’oublier.
∞∞∞∞∞
À mon tour d’être dans mes pensées ; par crainte que l’intuition féminine me culpabilise, je décide de faire la conversation, bien sûr sur notre visite chez Françoise, mais Maryse n’est guère enthousiaste pour en parler, je n’insiste pas et change de sujet.
— Il se fait tard pour le déjeuner, mais je commence à avoir l’estomac dans les talons. Que penserais-tu si nous nous arrêtions manger au restaurant ? Je pense que d’ici une heure nous serons sur Orléans et je connais en entrée de ville un restaurant ouvert de 11 h à 23 h sans interruption. Es-tu partante pour une viande sur le grill ?
— Bien volontiers, je meurs de faim et les toilettes seront peut-être fonctionnelles !
— C’est parti ! Nous serons vers 14 h 30 devant le feu de bois dans ce restaurant au toit de chaume.
— Et après, nous ferons la sieste, je vois que la chambre est libre maintenant (sic).
Avec ce double objectif, la route paraît plus gaie en traversant la forêt domaniale d’Orléans. Maryse semble avoir oublié qu’elle n’a toujours pas de culotte, ou plutôt elle sait que je ...
... suis strict sur le sujet et qu’il ne sert à rien d’en parler sinon attiser un peu plus mon excitation. D’ailleurs, je trouve que la route manque d’érotisme alors je pelote la poitrine de Maryse qui ne s’en offusque pas. Je déboutonne un, puis deux boutons du chemisier, introduis une main à l’intérieur et pénètre dans le soutien-gorge. Je pétris une mamelle sans grand ménagement, caresse le téton qui, bien au chaud, est gros comme une petite arachide.
Maryse ne dit rien, alors je passe la main dans le dos pour dégrafer la pièce de lingerie que je remonte au-dessus de la poitrine et je palpe à pleine main ses seins dans tous les sens. La main droite me suffit pour satisfaire ce fantasme, l’autre reste précautionneusement sur le volant. Comme Maryse ne s’en étonne pas, je lui demande de retirer complètement son soutien-gorge. Avec à peine un semblant de rébellion, elle s’en débarrasse en passant les bretelles par les manches du chemisier pour ne pas avoir à le retirer. Pour finir, elle le range dans son sac à main.
— Moi qui avais choisi le soutien-gorge noir que tu aimes bien avec les balconnets, c’est tout l’effet qu’il te fait aujourd’hui ? dit-elle.
— C’est un choix, j’aurais pu accepter que tu le gardes en te mettant les seins à nu par-dessus mais je préfère te savoir sans soutien-gorge, comme cela tu ne pourras pas les cacher pour aller au restaurant.
Nous voilà à Orléans-la-Source, arrivés au restaurant. Maryse ne sollicite pas le désir de se rhabiller. Elle a ...