1. C'est beau la Beauce


    Datte: 12/09/2018, Catégories: fh, fplusag, fagée, fépilée, campagne, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, uro, couple, Auteur: Mcguil83, Source: Revebebe

    ... veste de fourrure pour ne pas l’abîmer dit-elle, et je découvre qu’elle a un joli chemisier blanc en satin et dessus un cardigan bicolore blanc et marron. Sa poitrine est très en valeur dans ce chemisier justaucorps. Je félicite Maryse pour le choix des vêtements et nous prenons place dans le véhicule.
    
    Direction la route du Sud : périphérique jusqu’à la porte d’Orléans, autoroute A6, puis A10, puis la RN20 direction Orléans. Ce samedi matin, il y a peu de monde malgré le temps ensoleillé, il faut dire que la température est au gel et ce n’est pas une période de congés scolaires. Le long serpent de bitume de la RN20 défile vite à travers la plaine de la Beauce. À perte de vue, il y a des champs labourés bien dessinés, dans lesquels on aperçoit des cultures qui commencent à germer. D’ici quelques semaines, tous ces champs seront verts, jaunes, ou couleur d’or ; en attendant que le printemps revienne, c’est encore l’hiver. Maryse semble distante, égarée dans ses pensées, peu bavarde, elle qui d’habitude a toujours quelque chose à raconter, alors je m’en inquiète :
    
    — Comment te sens-tu, ma chérie ? Es-tu bien ? Je peux, si tu veux, mettre un peu plus de chauffage ? J’espère que tu n’as pas peur de ma façon de conduire ?
    — Non, je suis bien ! Je réfléchissais que c’est la première fois que je pars avec toi pour un long trajet alors j’ai fait un vœu, que je dois garder pour moi si je veux qu’il se réalise.
    — Ta tenue vestimentaire fait-elle partie du vœu ?
    — Un peu ...
    ... peut-être, mais n’essaie pas d’en savoir plus.
    
    Je crois avoir trouvé, mais je respecte son choix. Je pose ma main droite sur sa cuisse pour toucher ce que j’espérais… les jarretelles, le haut du bas plus épais et la peau jusqu’à la culotte. Entre deux doigts, je pince la jarretelle qui est parée de dentelle et le bouton d’attache carré me confirme que je connais le porte-jarretelles dont Maryse est vêtue. Je ne passe pas la main sous la jupe, je préfère rester dans l’imaginaire du fantasme.
    
    — Je crois que j’ai deviné et que je sais tout !
    — Tu ne sais rien du tout… petit coquin ! Et de plus, dis-moi ce que tu peux envisager, le véhicule est plein avec ce meuble rustique, on ne pourrait même pas prendre un auto-stoppeur.
    
    Je brûle de dévoiler ma pensée mais je préfère lui laisser l’illusion de la victoire. Les kilomètres passent, agrémentés d’un peu plus de discussions à deux. La radio fait un fond d’ambiance que nous n’écoutons pas. À une vingtaine de kilomètres au Nord d’Orléans, nous décidons de nous arrêter prendre un petit-déjeuner. Je suis sûr d’être à moins de 18 km d’Orléans car, de la nationale, on aperçoit le rail de béton de l’aérotrain de l’ingénieur Bertin qui espérait relier Orléans à Paris en 20 min à la fin des années 60. Malheureusement, la crise pétrolière de 1972, ou d’autres raisons, valurent de faire capoter ce projet futuriste, le conduisant tout droit à une faillite programmée. Quelque 40 ans plus tard, il ne subsiste que les vestiges d’un support de ...
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