C'est beau la Beauce - Histoires de Sexe

C'est beau la Beauce

... Mes doigts écartent les grandes lèvres et deux d’entre eux plongent dans le vagin. Maryse cambre les fesses vers l’arrière pour mieux sentir la pénétration. J’en profite pour lui titiller le clitoris et mettre le pouce dans l’anus. Je fais plusieurs va-et-vient que Maryse accepte sans rien dire. Jugeant la remontrance suffisante, Maryse trouve le mot de la fin :

— Je ne sais pas jusqu’où tu veux aller, mais je te signale que nous sommes attendus avant midi, que j’ai les fesses au grand air, qu’il gèle et que la voiture est pleine. Alors, à moins de te tailler une pipe, je ne vois pas ce que nous pouvons faire de plus maintenant, n’est-ce-pas ?

Devant autant d’arguments justes, j’arrête mon jeu, baisse la jupe de Maryse et lui rends sa place de passagère. Je garde cependant sa culotte pour qu’elle n’ait pas l’idée de la remettre aujourd’hui, et de concert, nous reprenons la route vers Vierzon.

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Il reste encore une bonne heure de route, sans autre anecdote notoire à raconter. Je programme sur le GPS la destination du lieu-dit « Le Creux Bisson », heureusement que le navigateur connaît car je n’y suis jamais allé. Maryse me questionne sur la personne que nous allons rencontrer pour paraître un peu moins godiche.

— Tu sais, il y a plusieurs dizaines d’années que je n’ai pas revu Françoise, depuis qu’Alain a quitté le foyer familial pour se marier et que moi je suis entré en activité après le service militaire. De temps en temps Alain et moi, faisons un repas ...

... de célibataires ou une visite de courtoisie mais jamais je n’ai revu sa mère. Je sais qu’après son veuvage, elle est repartie dans sa région Centre de naissance et qu’elle ne s’est jamais remariée.
— Que peux-tu me dire du vécu avec elle ?
— Pas grand-chose, Alain et moi étions des collègues de lycée puis de BTS, ce qui nous a beaucoup rapprochés, d’autant plus que nous vivions à l’époque dans la même banlieue. J’allais souvent chez lui pour nos cours et je peux, si cela t’intéresse, te raconter une anecdote pour passer le temps.
— Et c’est pour cela, me dit Maryse, que tu veux revoir Françoise, une ancienne conquête, veuve aujourd’hui donc disponible !
— Non, ce n’est pas pour cela. C’est vrai que je suis ravi de cette journée pour voir comment elle est physiquement aujourd’hui. C’est une octogénaire comme toi et ce n’est pas à toi que je vais apprendre qu’en plus de quarante ans, on change physiquement mais aussi mentalement. Elle est peut-être grosse, ridée, habillée en femme rustique et que sais-je encore ? Et je veux aussi te dire que si j’avais eu la moindre vue sur elle, je ne t’aurais pas proposé de m’accompagner pendant cette journée.
— Et si c’était tout le contraire : Françoise est restée une femme svelte, élégante, une jolie mamie comme tu les aimes avec du charme et de la disponibilité à ton égard ?
— J’espère ne pas être déçu de la revoir et j’aimerais qu’elle soit comme tu le dis, mais c’est toi qui partages ma vie parisienne et je peux t’assurer que rien ...