1. Lily, la meilleure des frangines (1)


    Datte: 28/07/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: Gentille75, Source: Xstory

    ... surprise était de taille. Au moins, je pouvais respirer tranquille, elle n’irait jamais nous dénoncer pour les bières.
    
    ♀♀Merde, merde, merde ! Je n’arrivais à rien, ça me tapait sur les nerfs. Pourquoi ça ne me le faisait pas comme d’habitude, le plaisir était là, tout près, il aurait suffi d’un rien. Tendue sur le canapé, les frusques éparpillées autour de moi, le poignet engourdi à force de me branler le clitoris, je sentais monter des larmes de frustration.
    
    — Tu devrais me laisser m’occuper de ça.
    
    La voix grave me fit sursauter. La veille m’observait d’un regard charitable, presque maternel, plein de tendresse. On aurait dit qu’elle trouvait normal de me surprendre nue en train de jouer à touche-pipi avec mon bouton. Et ma sœur ?
    
    — Dans sa chambre, répondit la prof imperturbable.
    
    Oh putain, d’accord ! Elle lisait aussi dans les pensées. Après Lily, c’était à moi de passer à la casserole. Je la laissai approcher, subjuguée malgré la trouille de ce qui trottait dans sa tête de vieille vicieuse. Pourtant, plus la situation apparaissait glauque, plus je ressentais l’envie de me soumettre à ses caprices. Après tout, la frangine y avait trouvé son compte.
    
    Elle s’agenouilla à bonne distance de moi devant le canapé, pour ne pas m’effrayer davantage, puis retira ma main en éventail sur mon minou. Plus rien ne me protégeait de la curiosité mal placée de la mère Dubreuil. La douceur de ses doigts sur mon poignet réveilla mon excitation, je me sentis incapable de ...
    ... la repousser.
    
    — Tu es belle.
    
    Le compliment m’émut, il y avait dans la voix lourde la promesse de donner sans rien demander en retour. Ça changeait des mecs, ou c’était une question d’âge. La prof resta un instant immobile, le regard brillant d’admiration, les lèvres frémissantes. L’attente me rendait nerveuse, j’étais trop novice pour prendre la moindre initiative, mieux valait éviter de réfléchir.
    
    — Détends-toi, laisse-moi faire.
    
    C’était mon intention, à condition qu’elle ne me laisse pas me dessécher comme une statue sur ce foutu canapé. Excitée au point d’en devenir folle, je me sentais prête à me caresser devant la vieille pour provoquer une réaction de sa part, n’importe laquelle pourvu que le plaisir soit au rendez-vous. Dans tous les cas, ça ne ferait pas de moi une gouine, alors inutile de paniquer.
    
    ♀♀Je détournai la tête à temps pour éviter le baiser ; pas question de prendre dans la bouche la langue qui sortait du minou de ma frangine. La mère Dubreuil, loin de se formaliser, se vengea en me bouffant divinement les seins, suçotant et mordillant mes tétons l’un après l’autre. La caresse s’éternisa, j’étais aux anges. Il aurait suffi qu’elle effleure mon bouton pour me faire décoller.
    
    — Ça t’a excitée de nous voir ? demanda-t-elle soudain.
    
    La vieille n’attendait aucune réponse, c’était pour dire qu’elle m’avait remarquée à la porte de la chambre. La bouche glissa sur mon ventre, je frémis, je sursautai quand elle s’égara dans ma touffe. Aucun des ...