Suzanne et les hommes (3)
Datte: 25/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Axelya, Source: Xstory
... Ah je ne peux plus résister, je dois vous toucher.
Sans attendre, il joignit le geste à la parole. La bouche de Suzanne forma un « o » surpris et elle se retint de gémir trop fort. Oui elle voulait qu’il la touche. Sans se l’avouer, elle désirait plus encore. Elle restait pourtant partagée, clivée. Une part d’elle observait ce corps, cette chair offerte à cette palpation indigne. Ce corps dont elle ne comprenait plus les signaux affolés. Elle était également une femme qui aspirait désespérément à la jouissance.
— Mais voici que ce coquin de clitoris pointe sa petite tête. Et si je le pince comme ceci ?
Suzanne crut recevoir une décharge électrique. Elle laissa échapper un long soupir.
— Si vous continuez, dit-elle, je crois bien que je vais jouir.
— Ah non, répondit-il, la séance n’est pas finie. Nous devons procéder à une dernière vérification d’usage. Si vous ne mouillez pas assez, votre mari trouve peut-être la pénétration désagréable. Je dois avouer que, pour ma part, je trouve déplaisant de besogner un conduit sec comme le vieux cuir.
Tout en discourant ainsi, il tirait les grandes lèvres de part et d’autre, exposant l’intimité de la jeune femme. De cette cavité rouge suintait de la mouille en abondance. Il commenta :
— Le test est concluant. Je dirais même que vous êtes excitée.
Pour preuve, Mulatier montra ses doigts humides à Suzanne. Il en introduisit ensuite, sans aucune difficulté, un puis deux dans son sexe. De son pouce, il exerçait une ...
... rotation sur le clitoris. « Il fouille ma chatte, pensa Suzanne, comme s’il cherchait quelque chose ». C’était effectivement le cas, et il savait où aller. Elle découvrait de nouvelles sensations à être ainsi explorée par cette main inquisitrice. Son vagin se contractait, pulsait au rythme de la caresse interne. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier puis un spasme la secoua toute entière. La cyprine gicla, éclaboussant ses cuisses.
— Je crois que cela sera tout pour cette fois, dit le notaire. Je vous laisse vous rhabiller.
Son gynécologue ne lui aurait pas parlé autrement. Il ne l’avait même pas embrassée.
Suzanne quitta le bureau du notaire dans un état d’agitation mentale inusité. Ce qui venait de se produire était proprement extraordinaire. L’avait-elle rêvé ? S’agissait-il d’une séance d’hypnose ? Mulatier avait su profiter d’un moment de faiblesse. Elle était prête à tout subir, passive, comme une poupée de chiffon, malléable à satiété. En y repensant, des mots crus et sales lui trottaient dans la tête. Chatte, mouille, cul, comme une litanie. L’excitation montait à nouveau. Absorbée par ses pensées, elle passa devant la salle d’attente sans voir Tronchet qui se leva à son approche et l’interpella :
— Bonjour Suzanne.
Il y eut un bref flottement avant que la jeune femme ne retrouvât ses esprits. L’homme qui l’avait interpellée était un agent immobilier qui travaillait de façon régulière avec le cabinet. Plutôt beau garçon. Une fine moustache ornait sa ...