1. Dans ce monde et dans l'autre


    Datte: 24/07/2023, Catégories: fh, religion, bateau, Oral pénétratio, fsodo, confession, fantastiqu, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... entrailles.
    
    Après quelques minutes de repos, il retire son sexe de mon anus. C’est un peu douloureux parce qu’aussi étonnant que cela puisse paraître, il a toujours une érection flamboyante.
    
    — Wow ! Vous ne vous arrêtez jamais, vous, soupirai-je.
    — Non, effectivement, je suis toujours prêt.
    — Je vois ça…
    — Voulez-vous aller nager ?
    
    Je n’ai pas le temps de répondre que déjà, il m’entraîne vers le bord de la barque.
    
    — Venez, vous allez adorer.
    
    Avant que je ne puisse lui donner une réponse ou exprimer les doutes que j’ai quant à la propreté de l’eau, il me pousse par-dessus bord et plonge derrière moi. L’eau est d’une tiédeur parfaite.
    
    Ses mains, sa bouche, ses jambes, tout son corps se presse contre le mien. Il m’embrasse et me pousse contre le côté du bateau, puis écartant mes jambes, il plonge une fois encore son sexe en moi.
    
    Ce n’est pas que je n’aime pas ça ou que je ne lui suis pas reconnaissante pour tout le plaisir qu’il me donne, et c’est clairement le meilleur amant que j’aie jamais rencontré. Mais alors qu’il me pénètre dans l’eau de son sexe puissant, je commence à avoir un peu mal. Je m’accroche néanmoins à ses bras, la tête reposant sur ses solides épaules.
    
    Quand il a enfin fini – il a encore éjaculé en moi, quelle santé ce Charon ! – il m’aide à remonter à bord de la barque. Nous restons là, allongés côte à côte de longues minutes. Je suis épuisée, jamais je n’ai autant joui, jamais je n’ai eu pareille bête de sexe à mes côtés. Puis, ...
    ... sans même me le demander, il m’attire sur lui et enfouit sa lance en moi.
    
    Cette fois, c’en est trop pour moi, je suis tellement fatiguée. J’essaie pendant quelques instants de l’accompagner, de mettre de l’entrain à chevaucher son sexe d’airain, mais après une minute ou deux, je n’ai tout simplement plus d’énergie. M’effondrant sur sa poitrine, je le laisse me besogner, tel un pantin désarticulé.
    
    Quand une fois de plus il crache des flots de sperme dans ma matrice, je peux sentir le liquide chaud s’échapper de mon vagin si endolori.
    
    — Ça… ça a été très gentil, Charon. Vous êtes vraiment un amant exceptionnel, mais je suppose que le prix de mon passage a maintenant été payé. Je voudrais que vous me conduisiez de l’autre côté maintenant.
    
    J’entends à ma supplique un rire profond et chaleureux monter de sa poitrine, et il m’éloigne enfin de lui. Allongée dans l’obscurité, je suis impatiente qu’il se lève et se remette à la rame. Nous ne devons pas être si éloignés de l’autre côté de la rivière.
    
    Pourtant, s’il m’a repoussée, ce n’est que pour me faire à nouveau rouler sur le ventre, puis écarter mes jambes et, sans crier gare, me sodomiser à nouveau. D’une seule et longue poussée, il enfouit toute la longueur de son dard entre mes fesses, me faisant crier, mais cette fois de douleur.
    
    — Hé, je ne plaisante pas. Amenez-moi de l’autre côté !
    
    Je sens ses lèvres contre mon oreille, sa respiration lourde accompagnant chacune de ses poussées au fond de mes entrailles. ...
«12...6789»