1. Dans ce monde et dans l'autre


    Datte: 24/07/2023, Catégories: fh, religion, bateau, Oral pénétratio, fsodo, confession, fantastiqu, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... son érection est restée aussi solide qu’avant qu’il ne jouisse.
    
    — Et d’une superbe résistance, je dois également l’avouer.
    — Vous n’avez pas idée, me répond-il en souriant étrangement
    
    Il se penche et écarte mes cuisses, puis s’agenouille entre mes jambes. À ce mouvement, l’eau clapote doucement sous la barque.
    
    Avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit, je sens la tête chaude de sa verge pousser contre les lèvres de mon intimité.
    
    — Hmmmm ! ronronné-je. Oui, continuez à me surprendre, Charon !
    — Chaud et humide. Comme j’aime, halète Charon.
    
    Et il s’enfonce d’une seule poussée magistrale dans ma matrice.
    
    — Et serrée, aussi !
    
    Ce qu’il provoque en moi est bien au-dessus de mes faibles mots. Jamais je n’ai connu telle expérience, jamais je n’ai eu de sexe aussi délicieux en moi. Il est énorme et légèrement courbé vers le haut et, en alternant les poussées en moi, les caresses internes de son gland me rendent folle.
    
    J’enroule alors mes jambes autour de ses hanches et, à chacune de ses poussées je l’accompagne et serre mes muscles intimes, gémissant et me tordant sous lui. Il est juste trop ! Trop délicieux, trop gros, trop puissant… Jamais je n’ai été aussi bien prise, de toute ma vie. Et pourtant, j’en ai connu, des amants !
    
    — Vous aimez ? me demande-t-il en haletant
    — Vous voulez plaisanter ? Je n’ai jamais… jamais… oh Dieu, ce que vous me baisez bien, Charon !
    
    À cette réponse, il enfouit son glaive au plus profond de moi et cette fois, ...
    ... c’est l’intérieur de ma matrice qu’il inonde à jets puissants.
    
    Pendant quelques instants, il reste affalé sur moi, haletant. Et ce monstrueux machin, entre ses cuisses, qui reste toujours aussi dur et tendu.
    
    Sans que je n’y puisse rien faire, il ressort de mon sexe, me retourne sur le ventre et pose son épée de chair contre mon anus puis s’y introduit sans coup férir
    
    Bien sûr, j’ai eu mon compte de bougrerie, et cette entrée-là a été bien souvent utilisée, à mon grand plaisir, je dois dire. Mais Charon est énorme, et la douleur est difficilement soutenable au départ. Il me faut un long temps d’adaptation pour que mon sphincter s’apaise et s’ouvre suffisamment pour s’adapter à la taille de ce mandrin.
    
    Mais alors, une fois que je m’y suis habituée, c’est un peu comme si j’étais morte et montée au Paradis… Enfin, non, je n’y suis pas encore, mais vous comprenez ce que je veux dire.
    
    Manœuvrant mon corps de manière à pouvoir me tenir à quatre pattes sur mes mains et mes genoux, je le laisse me saillir comme un étalon le ferait d’une pouliche. Son sexe épais s’insère délicieusement entre mes reins, et bien que je ne me rappelle pas avoir eu un jour d’orgasme par cette entrée-là, une grande jouissance finit par me terrasser. Chaque muscle de mon corps convulse et, sentant mon corps se tendre puis se relâcher entièrement, une fois de plus le nocher m’accompagne dans la jouissance.
    
    — Ouiiii… Encore… gronde-t-il dans mon dos alors que je le sens éjaculer au fond de mes ...
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