1. Dans ce monde et dans l'autre


    Datte: 24/07/2023, Catégories: fh, religion, bateau, Oral pénétratio, fsodo, confession, fantastiqu, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... ?
    
    Je suis tout alanguie, mes yeux se ferment et je me laisse porter par le nocher, tout en rêvant à ce que j’aimerais qu’il me fasse.
    
    Plus je reste assise dans le bateau, plus mon désir grandit. Bien sûr, j’ai adoré Godin de Sainte-Croix, mais là, l’homme que je contemple a l’air d’être l’amant de tous les superlatifs. Des visions de son cul fort et musclé, de son sexe s’insérant en moi, amènent un soupir sur mes lèvres. Mais quand, oh, quand va-t-il prendre son dû ?
    
    Au bout d’un long moment, la barque s’arrête et je me réveille. Une pénombre rougeâtre à fait place à la lumière qui éclairait l’Achéron quand j’ai embarqué. Toujours perdue dans un rêve éveillé, je tends la main pour tirer sur les lacets de ma tunique, la laissant glisser le long de mon corps. Le bateau se balance alors que je sens, sans le voir, Charon s’approcher de moi. D’une main sûre, il a défait la corde qui retenait ses chausses et, saisissant l’arrière de ma tête, il presse mon visage contre sa verge nue et en parfaite érection.
    
    — Sucez-moi ! m’ordonne-t-il de sa magnifique voix grave.
    
    Je n’ai certainement pas besoin d’indications sur ce qu’il faut faire. Depuis que mes frères m’y ont initiée, j’ai toujours adoré ressentir un sexe d’homme grossir sous les caresses de ma langue. Et là, la tâche est délicieusement agréable. Alors que je le lèche et le suce, il pousse avec ses mains sur ma tête afin que je prenne toujours plus profondément son glaive en bouche. Fort heureusement, et même si ...
    ... je viens de passer trois ans dans un couvent, je ne suis plus depuis très longtemps une vierge sans expérience : je sais comment m’occuper de tels barreaux de chaise. Respirant par le nez, je sens l’organe de Charon pénétrer au plus profond de ma gorge, encore et encore.
    
    Ses deux mains de part et d’autre de ma tête, balançant son bassin en avant, le nocher baise ma bouche. Il grogne de plaisir et le petit bateau se balance au rythme de ses mouvements de plus en plus frénétiques.
    
    Je le nierai farouchement, même sous la question telle qu’on me l’a administrée il y a très peu de temps, mais j’adore être utilisée de cette façon, qu’un mâle s’approprie ma bouche, ma gorge pour son plus grand plaisir. J’agrippe les hanches du batelier et je le guide dans ma gorge jusqu’à ce que, tout à coup, il crie et se raidisse.
    
    Un flot ininterrompu de sperme chaud jaillit, alors que Charon presse mon nez dans ses poils pubiens. Je ne peux que déglutir frénétiquement pour avaler toute cette manne.Et en plus, il a bon goût, notai-je en gémissant de plaisir.
    
    Il retire alors son sexe de ma bouche avec un « pop » sonore.
    
    — Ma chère, vous êtes une agréable surprise, je dois dire.
    
    Me léchant les lèvres en faisant suffisamment de bruit pour qu’il s’en aperçoive, je lui réponds :
    
    — J’avoue que la vôtre, de surprise, est d’un goût excellent !
    
    Je laisse mes mains caresser son sexe, un peu triste que cela soit allé si vite. J’en aurais bien aimé un peu plus.
    
    À ma grande surprise, ...
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