Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (18) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (18)

... derrière moi mais je ne pouvais rien voir.

— Les filles ? Qu’est-ce qu’on fout ici ? Demandai-je, la voix vacillante.

J’obtins enfin une réponse.

— Ne t’en fais pas, Tennessee. Tout va bien se passer, je te le promets.

Je reconnus la voix de Lili.

— Tu veux pas tourner à 180° ma chaise ? Je ne te vois pas ! Dis-je.

— Patiente. Ma partenaire n’est pas encore prête. Arrête de parler !

— Pourquoi ? Tu n’aimes pas le son de ma voix ?

— Tu l’auras voulu !

Je sentis qu’on me saisissait la tête et qu’on forçait l’ouverture de ma bouche. Je tentai de résister, en vain. Quelques instants plus tard, j’avais un bâillon-boule dans la bouche et je ne pouvais plus prononcer un seul mot.

Je dus patienter quelques instants de plus avant de sentir qu’on tournait enfin mon siège. Je pus alors faire face au reste de la salle. C’était exactement comme dans mes souvenirs (cela faisait plus d’un an que j’avais quitté le lycée) : une trentaine de tables alignées, des chaises posées à l’envers sur chacune d’entre elles, des posters de SVT, de géographie et de langues vivantes sur les murs.

Néanmoins, le spectacle le plus remarquable était celui qui se tenait juste devant moi. Lili et Yana me jaugeaient d’un air envieux et étaient habillées de la manière la plus hot qui soit. Elles avaient revêtu des costumes d’étudiantes sexy composés de trois pièces : un top blanc qui découvrait tout le bas de leur ventre, une culotte noire en dentelle et une jupette à motif de ...

... tartan rouge et vert. Elles avaient attaché leurs cheveux en deux couettes assez hautes et avaient enfilé des lunettes carrées.

Immédiatement, mon corps réagit à cette vision idyllique et une érection naissante déforma mon pantalon.

— J’ai entendu dire que tu avais les réponses du devoir maison de mathématiques, Tennessee, dit Lili en se mordant la lèvre inférieure.

— On en a besoin ! On doit le rendre demain et on a rien fait encore ! Continua Yana en s’approchant de ma chaise.

— Mmmmh, tentai-je de dire à travers le baillon.

— On peut payer, tu sais ! Dit Yana en sortant une liasse de billets de son décolleté.

— Ne l’insulte pas ! Je suis sûr que c’est un gentleman qui va nous aider par galanterie ! Lança Lili.

— Tu as raison ! Mais nous devons le motiver un peu quand même ! Répondit sa sœur en saisissant fermement mon entrejambe à travers mon pantalon.

Yana déboucla lentement ma ceinture et descendit mon pantalon. Étant attaché par les pieds, elle ne put l’enlever totalement. Je la regardai faire, les mains au-dessus de la tête, incapable de faire un quelconque mouvement ou de parler.

C’est Lili qui retira ensuite mon caleçon et découvrit mon pénis déjà dressé depuis de longues minutes. Elle allait ensuite me sucer quand sa sœur l’arrêta.

— Patiente, ma sœur. Il faut d’abord lui enlever son T-shirt ! Je ne baise jamais sans voir les pectoraux de mon compagnon ! Dit Yana d’un air guilleret.

Qu’est-ce qu’elles jouaient bien les étudiantes en ...