Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (18) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (18)

ERRATUM1 : Après publication, nous nous sommes rendu compte que le prénom de Lila s’était transformé en Lili au fil des chapitres. Veuillez nous excuser pour cette erreur. Le prénom utilisé sera Lili dorénavant.

ERRATUM2 : Nous ne l’avons jamais précisé, mais l’action se déroule dans la ville de Hartonn (totalement fictive).

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JOUR 44 - Après-midi

J’étais sur mon lit, complètement nu. En face de moi, ma mère me regardait avec avidité, portant un body noir réellement sexy. Je ne pus qu’admirer sa silhouette dessinée, ses formes rebondies ainsi que ses cheveux châtains, relâchés en cascade sur sa poitrine.

— Je t’excite, mon Tennessee ? Susurra-t-elle. Je t’ai vu me reluquer le cul hier soir.

— Qqqquoi ? Balbutiai-je, déboussolé.

Elle s’approcha de moi et commença à enlever le peu de tissu qui cachait son corps. Bien évidemment, je bandais. Comment résister à la vue d’une telle déesse ? Ses seins venaient d’apparaître devant mes yeux ébahis. Sa peau brillait comme si elle avait été enduite d’huile.

Sous sa mamelle droite, la cicatrice, dont elle m’avait tant parlé lorsque j’étais enfant, s’étalait. Elle avait exactement la forme que j’avais imaginé : celle de l’entaille d’un couteau de chasse. Elle l’avait obtenue lors de sa dernière mission commando en tant que militaire : son équipe avait été prise au piège dans une embuscade et elle fût la seule à en réchapper, un couteau ennemi fiché dans son buste. Je ne pus m’empêcher de passer un doigt sur la ...

... légère boursouflure mais la main de ma génitrice repoussa la mienne.

— On ne touche pas, on regarde, dit-elle.

Je baissai les yeux, honteux. Elle éclata de rire.

— Je rigole, mon chéri. Tu peux me tripoter autant que tu le désires !

Elle retira son bas, dévoilant une chatte fraîchement épilée.

— Cependant, laisse-moi m’occuper de toi d’abord ! Chuchota-t-elle à mon oreille.

Elle descendit lentement mon buste jusqu’à mon pénis, dur comme l’acier. Elle entrouvrit les lèvres et sa bouche s’approcha inexorablement de mon gland. Sa langue toucha enfin ma peau et une décharge électrique me parcourut.

— Tennessee !

Ça n’était pas la voix de ma mère.

— Tennessee ! C’est l’heure ! Il faut y aller !

Je me réveillai en sursaut. Satyne se tenait au-dessus de moi et me secouait pour tenter de me réveiller.

— Satyne ? Qu’est-ce que tu fais là ? Demandai-je, hébété. Maman allait me faire une fellation et…

— Je vois que tu faisais un rêve plutôt coquin, mon mignon. Désolée de t’avoir réveillé !

— Un rêve ? Répétai-je.

— Oui, un rêve ! Est-ce que tu vois maman quelque part dans la pièce, gros bêta ?

— Nn-on. Mais ça paraissait si réel.

— Comme tous les rêves. Il faut vraiment y aller là ! Je dois te conduire au point de rendez-vous.

Soudain, tout me revint en mémoire. Je m’étais couché sur mon lit pour faire une sieste avant de faire un plan à trois avec Yana et sa sœur.

— Oulah ! C’est vrai ! Dis-je en me frottant les yeux. Il faut que ...