Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (18) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (18)

... j’aille sodomiser les deux sœurs !

— Exactement ! Répondit Satyne en pouffant. On y va ? J’ai réussi à obtenir les clés d’une caisse !

— Allons-y !

Quelques instants plus tard, je rentrais dans la voiture, côté passager. Une fois installée, Satyne me tendit un bandeau.

— Il va falloir que tu mettes ça sur tes yeux, m’indiqua-t-elle. Instruction de Lili et Yana.

— C’est bien mystérieux, tout ça !

J’enfilai rapidement le bandeau : j’étais complètement aveugle à présent. Satyne démarra le moteur et passa la première vitesse. Je sentis le véhicule avancer et prendre progressivement de la vitesse. Je tentai de deviner le chemin qu’elle prenait mais je perdis rapidement le fil du trajet.

Au bout d’une dizaine de minutes, ma sœur jumelle stoppa enfin la voiture.

— On y est, lâcha-t-elle en sortant de la voiture. Ne retire pas encore ton bandeau. Je vais te guider.

J’entendis la portière s’ouvrir à ma droite et une main saisir la mienne.

— Viens ! Ordonna Satyne.

Je sortis tant bien que mal du véhicule et attendis qu’elle referme la portière. Elle commença à avancer. Être ainsi aveugle était assez excitant mais aussi terrifiant. Où étais-je donc ? Qu’est-ce qui m’attendait ?

J’entendis une porte s’ouvrir devant moi. Le béton du parking laissa place à un sol très doux. Tous les bruits de pas étaient réduits au silence à présent. Satyne me fit franchir plusieurs portes à la suite. Soudain, elle s’arrêta et je l’imitai. Un doux parfum flottait dans ...

... l’air, celui du lila.

— On est arrivé.

Elle le fit asseoir sur une chaise particulièrement large : je ne sentais aucun accoudoir.

— Bouge pas de là et ne retire pas ton bandeau.

Je l’entendis quitter la pièce. L’attente me parut diablement longue. Je fus tenté de retirer mon bandeau mais je n’en fis finalement rien. Après quelques minutes supplémentaires d’attente, la porte s’ouvrit à nouveau et un nouveau parfum envahit mes narines.

— Lili ? Yana ? C’est vous ? Demandai-je.

Aucune réponse.

— Ohé ? Dis-je.

Soudain, une main me repoussa au fond de mon siège. Ma mystérieuse visiteuse saisit ensuite mes bras et les fit passer au-dessus de ma tête. À ma grande surprise, je sentis deux bouts de métal venir entourer mes poignets et m’immobiliser.

— Qu’est-ce que tu fais ? Demandai-je.

Toujours pas de réponse. Je sentis qu’on saisissait mes jambes et qu’on les menottaient fermement comme on l’avait fait avec mes bras. J’étais à présent complètement immobilisé et à la merci de mes ravisseuses. Pour le meilleur et pour le pire…

Soudain, mon bandeau fût retiré d’un coup sec et l’éclairage artificiel m’aveugla. Après m’être accoutumé à ce brusque changement de lumière, je pus distinguer ce qui m’entourait.

J’étais dans une pièce que je reconnus au premier coup d’œil. Il s’agissait d’une salle de classe du lycée de Hartonn. Je me trouvais sur l’estrade, attaché face au tableau à une chaise très large qui semblait articulable. J’entendis un chuchotement ...